1. Les réceptions de M. Le Marquis (Partie VIII)


    Datte: 23/08/2021, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... Sinon, veuillez partir. - Merci beaucoup, Monsieur ! Vous êtes trop aimable. Il ajoute : - Sachez que je devrai tout de même en informer M. le Marquis. - Bien sûr, bien sûr. Et il reprend tranquillement les choses où il s’était arrêté, pendant que la traiteur va s’asseoir dans un fauteuil, à quelques mètres de mon visage. Je peux enfin voir le visage de cette femme qui aime tant se jouer de nous, les esclaves. Il est rayonnant. Elle arbore un sourire jusqu’aux oreilles quand, me regardant dans les yeux, elle croise les jambes comme pour se mettre à l’aise et mieux profiter du spectacle. Je sens mon visage virer à l’écarlate. M. Curval achève bientôt de s’extraire, en faisant bien attention à ne pas sortir tout à fait son gland. Puis il entame une deuxième pénétration, plus rapide cette fois. Sans tarder, il se retire à nouveau. Puis vient la troisième pénétration. Puis la quatrième. Et très vite, je perds le compte. Les coups de bassin de succèdent, et plus la cadence augmente, plus je gémis. La douleur s’est totalement estompée, et seuls subsistent le plaisir et le bonheur d’être ainsi rempli par cet homme viril et triomphant. La cadence augmente encore. Très vite, je m’abandonne entièrement à l’excitation et hurle de plaisir. Je veux parler, lui dire combien c’est bon, mais je suis incapable d’articuler. Je ne peux que gémir. J’en oublie cette femme qui nous observe d’un air moqueur en riant. J’en oublie ...
    ... qu’après cela, il faudra que je me lave et que je retourne au service illico. J’en oublie que, sans doute, d’autres me passeront dessus dans la soirée. Il n’y a que ce sexe. Cet énorme sexe qui me pilonne. Et ces mains, qui me fessent en rythme. Et ces pinces, qui me tiraillent les seins d’une façon électrisante. Au bout d’un moment, Monsieur Curval attrape les liens qui me retiennent les bras serrés dans le dos, et tire dessus pour me faire relever le haut du corps. Je suis désormais à genoux, et chacun de ses assauts me fait basculer tout le corps en avant, jusqu’à ce qu’il me ramène en arrière en tirant sur mes bras. Un mouvement de balancier s’effectue sur les pinces à seins qui, entraînées par la chaînette, tirent à chaque mouvement un peu plus fort sur mes tétons. Je perds la notion du temps. Chaque fois que je couine un peu trop fort, j’entends le rire inquisiteur de la femme, comme venu du lointain. Finalement, les coups de butoir se font plus saccadés. Plus violents aussi. Ils s’accompagne d’un choc assez violent des cuisses de M. Curval sur mes fesses. Je sens le sexe de M. Curval se raidir dans un dernier effort, et sans s’arrêter de me pénétrer, cracher un véritable geyser de sperme en moi, alors qu’il me rejette la tête la première sur le lit. Il plaque ses mains sur mes fesses, plante ses ongles dedans sans la moindre tendresse, et laisser son vit me remplir jusqu’au dernier spasme éjaculatoire. 
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