1. Dans le bus


    Datte: 23/08/2021, Catégories: hplusag, bus, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... jeu pour trouver en lui une satisfaction basée sur son imagination, qui l’amenait parfois à dériver vers des rêveries érotiques. ***** En face de Maxime se trouvait une jeune femme d’une vingtaine d’années, brune, regard doux, cils entretenus. Ses cheveux mi-longs étaient un peu ébouriffés, comme si elle sortait de son sommeil. Elle était plongée dans son smartphone qui renvoyait vers son visage un éclairage diaphane. Une vibration signalait de temps à autre l’arrivée d’un message, par SMS ou autre messagerie électronique. Elle y répondait immédiatement, le plus souvent avec un sourire, avec un charmant sourire, puis semblait revenir de manière distraite à une lecture non identifiable. Un sourire peut donner l’air idiot, le sien lui donnait l’air coquin. Maxime se dit que le prénom d’Amandine lui irait bien. Amandine portait un débardeur barré de lignes alternativement blanches et bleues. Son col commençait à la naissance des seins, un peu plus bas même, un effort limité d’imagination autorisait à penser qu’ils étaient beaux. Maxime avait envie de croire que la base de ses tétons était d’un diamètre limité et que leurs pointes se dressaient avec rectitude dans les phases de plaisir intense. Ses bras étaient finement velus, d’une couche de poils à peine perceptible. Les cils d’Amandine n’étaient pas très fournis et Maxime en déduisit, à tort ou à raison, que la pilosité de son corps était limitée. Maxime n’imaginait pas qu’elle puisse s’épiler intégralement, elle avait ...
    ... réfléchi à la question, mais avait fini par considérer que sa pilosité méritait, de par sa rareté, à être conservée. Un duvet de poils à la configuration naturellement géométrique se formait donc dans le prolongement de son pubis, sans déborder, une mince couche de fils soyeux et dociles, aplatie sur sa peau. Le bus s’arrêta à un feu rouge. Une voix féminine et désincarnée annonça par haut-parleur le nom du prochain arrêt. Maxime craignit un instant d’être interrompu, mais personne ne bougea. Amandine n’y fit même pas attention et restait concentrée sur ses messages. Le bus repartit, et les rêveries continuèrent. La peau d’Amadine présentait une couleur mate et claire, ses lèvres étaient discrètement roses, et lisses. Maxime savait d’expérience que la physionomie des lèvres ne permet pas de savoir comment une femme embrasse, pas plus que la forme de ses fesses ne permet de savoir si elle fait bien l’amour. Mais la délicatesse de ses lèvres laissait présager une forme de suavité lente, d’abandon dans le baiser. Maxime prit plaisir à croire qu’Amandine aimait être embrassée lorsqu’elle faisait l’amour. Qu’elle donnait sa bouche, en même temps que son sexe, son ventre, ses seins, avec une implication totale de son être. Une nouvelle vibration attira l’attention d’Amandine. La lecture de ce qui était sans doute un texto lui prit un certain temps, la fit réfléchir. L’un de ses doigts se posa sur bouche, exprimant un sentiment de perplexité. Sa tête se releva et elle vit Maxime. Ils ...