Ecole du sexe (13)
Datte: 23/08/2021,
Catégories:
Divers,
Je plaçai mon bras gauche sous les cuisses d’Alice et le droit sous son dos. Ainsi, je la portai comme si elle avait été une princesse des contes Disney. Toutefois, je doutais sérieusement du fait que les princesses de contes de fée subissent ce genre de traitement. De son côté, elle enroula ses bras autour de mon cou et continua de pleurer contre mon torse. Sans émettre le moindre son, je l’emmenai jusqu’à notre dortoir sans croiser personne. Dès lors que je franchis la porte des premières années, tous les yeux se rivèrent sur nous. Je n’en tins pas compte et m’apprêtai à attraper le gel douche et le shampoing d’Alice avant que Stéphane ne s’en chargeât pour moi. Il ne posa aucune question et je l’en remerciai d’un signe de la tête. Il me suivit et nous poursuivîmes notre chemin jusqu’aux douches. Une fois encore, personne ne pouvait s’empêcher de nous regarder passer. Je remarquai tout de même que, dans chacun de leurs regards, seules la surprise et l’horreur transparaissaient. Je posai Alice délicatement sur les dalles de la salle de bain commune et allumai l’eau. Une pluie humide se déversa alors sur moi et Alice. Je m’agenouillai alors devant elle et, après avoir pris suffisamment de gel douche, je commençai à nettoyer le corps de ma petite amie de toutes les traces de cette agression barbare. Tandis que la mousse se répandait sur l’intégralité de son corps, Véronica entra dans la salle de bain. -Bah qu’est-ce que vous faites tous ici ? Vous faites une de ces têtes, il ...
... s’est passé quelque chose ? Elle s’approcha davantage de nous deux mais je ne quittai pas Alice des yeux. Lorsque la partenaire de Stéphane se fut suffisamment approchée pour observer le résultat de la haine de Fabian, elle ne put que pousser un léger cri d’horreur. -Oh putain ! fit-elle. Qui lui a fait ça ? Quel enfoiré a osé ? Devinant que son intervention n’aidait en rien, Stéphane posa sa main sur la hanche de sa partenaire et l’accompagna à l’extérieur. Je l’en remerciai intérieurement et poursuivis. Après avoir rincé Alice, je pris derechef du gel douche et recommençai afin d’être certain qu’aucune trace ne subsistât. Je frottais précautionneusement ses bras, ses jambes, son ventre, sa poitrine, son pubis et même ses lèvres intimes. Fabian et sa bande n’avaient donc oublié aucune partie de son anatomie. Soudain pris d’une certaine angoisse, je demandai à Alice si ces couilles molles avaient abusé d’elle. Je dus me retenir de frapper le mur lorsqu’elle hocha la tête. Un viol pur et simple. Voilà donc ce qu’avait subi Alice. Jamais je ne laisserai passer une chose pareille. Ravalant ma colère, j’aidai Alice à se lever et lui lavai le dos. Aucune émotion ne traversa mon corps lorsque je frottais son dos, sa nuque ou ses fesses. Lorsque j’eus terminé, je m’occupai finalement des cheveux de ma petite-amie avec toute la tendresse dont j’étais capable. Une fois cette toilette terminée, j’allais chercher une serviette et essuyai Alice des pieds à la tête. Je vérifiai au passage ...