Sandrine et les trahisons (9)
Datte: 24/08/2021,
Catégories:
Hétéro
Sandrine a une vingtaine d’appels en absence de son copain et trois de sa sœur. Il semble que son copain n’ait pas ameuté tous ses amis. Il n’a pas laissé de message. Elle ne rappelle pas. Je ris : — Nos mesures de précaution semblent bien exagérées. — Peut-être. Mais j’ai passé une super journée et je viens de prendre le plus grand pied de ma vie. — Qu’est-ce qu’on fait ? — On reste. Tant qu’il ne m’a pas laissé de message, on reste. Je vais me doucher et on descend manger. J’ai faim. Dix minutes plus tard, Sandrine sort de la salle de bains dans une jolie petite robe patineuse noire à fines bretelles. Je fais la moue : — Mince ! J’espérais que tu garderais le porte-jarretelles et les bas. — Eh oh ! N’exagère pas, ok ? A part mon test au magasin, c’est la première fois que j’en mettais un, donc… — Ah bon ? Tu avais l’air à l’aise avec. — Oui, c’est bien moins pire que ce que m’avait raconté mes copines ! — Tu en remettras alors ? — Peut-être. Mais pas ce soir. Je ris. — Pas nécessaire, cette robe te va super bien. — Je la portais quand j’avais 15 ans, donc. Je n’ai rien trouvé d’autre de portable en 2017 chez mes parents. Je la regarde de haut en bas. — Tu permets que je… — Oui, dis-moi. — Le soutien-gorge, c’est dommage qu’on voit les bretelles… — Je sais. Mais sans, au niveau du décolleté, c’est… comment dire… profond. Le soutien-gorge fait tout tenir. Je hoche la tête. — Tu veux que je l’enlève pour te montrer ? — Très volontiers. Sans soutien-gorge, tout redescend, ...
... effectivement, et on voit une large partie de ses seins. La couture est à la limite du téton, c’est incroyablement sexy. Je dois sourire béatement. — Ça te plait tant que ça ? Ok, je reste comme ça. Allez, on y va. Nous quittons la chambre et entrons dans l’ascenseur. Je la regarde, elle pique la mouche : — Quoi ? — Donne-moi ton string ! — Quoi !?! — Donne-moi ton string ! — Non ! — Donne ! — La robe n’est pas si longue que ça et puis… — Donne !! — Et merde ! Sandrine se penche et retire en vitesse la petite pièce de lingerie. Elle me la tend, je la prends. Elle est déjà mouillée. Sandrine lève les yeux au ciel : — Tu me fais vraiment faire des folies… Nous prenons l’apéritif au bar de l’hôtel. En ce jeudi soir, il n’y a pour ainsi dire personne dans l’établissement. Le serveur nous le confirme : il n’y a que cinq chambres de réservées, dont trois simples, raison pour laquelle le restaurant est fermé. Ce soir, seul le café est ouvert et cela nous convient très bien. Nous nous y rendons vers 21h. En chemin, je demande à Sandrine : — Alors, cette première soirée sans culotte se passe bien ? wzwoojk — T’es con. A vrai dire, ça m’a dérangée cinq minutes. Depuis, ce n’est pas désagréable. Je la prends par la taille, elle retire ma main pour la prendre dans la sienne : — Je trouve ça plus romantique. La carte n’est peut-être pas celle du restaurant, mais la qualité de la cuisine est la même. Résultat : des plats simples et parfaitement réalisés. Nous mangeons léger mais divinement ...