1. Sandrine et les trahisons (9)


    Datte: 24/08/2021, Catégories: Hétéro

    ... bien. Assis dans un coin du café sur un banquette, l’un perpendiculairement à l’autre, nous buvons deux verres de vin chacun. Suffisant pour que Sandrine soit un peu pompette. Suffisant pour qu’elle accepte d’exhiber son sexe en remontant sa robe. Elle refuse de me montrer un sein. Je ne sais pas vraiment si Sandrine pense se marier deux jours plus tard. Nous n’évoquons à aucun moment le mariage. Je pense que pour elle, tout est possible et elle semble surtout ne pas avoir envie d’y songer. Elle vit clairement dans le moment présent. Nous prenons un café et quittons le café. Il est 23h et Sandrine n’a pas envie d’un digestif. Devant l’ascenseur, je taquine Sandrine : — On pourrait prendre les escaliers, tu n’as pas fait de sport aujourd’hui. — Trois heures de balade, ça ne compte pas ? Dis plutôt que tu veux mater sous ma robe. — Ok. Montons à pied. Elle éclate de rire et passe devant moi. Je caresse ses fesses avant l’arrivée au premier étage où nous nous embrassons avec passion. Sandrine est sur ses gardes lorsque j’essaye de soulever sa robe. Elle me repousse et court dans l’escalier. Je la rejoins à la moitié de celui-ci et la serre contre moi… avant de lui embrasser les fesses. — Tu me montres tes seins, cette fois ? — Tu es incorrigible… Elle descend simultanément les bretelles de sa robe et dévoile ses gros seins que je m’empresse de peloter et embrasser. Je la provoque : — Tu n’oses pas arriver comme ça au deuxième ! — Non, t’es fou. Elle remonte ses bretelles et ...
    ... repart dans l’escalier. Arrivée au deuxième. Sandrine est essoufflée. Elle s’assied. Elle est avachie dans un fauteuil style Louis XV. Je la regarde, elle me sourit et soulève rapidement sa robe. Je proteste : — Je n’ai rien vu. — Il fallait être plus attentif. — Y a pas de ralenti ? Elle éclate de rire et remonte sa robe au dessus de son sexe. Regards. Je m’approche et m’agenouille devant elle, entre ses jambes. Je me penche sur son sexe glabre et commence à le lécher. Elle gémit : — Tu es dingue. — Tu adores ça… — Mmmh… oui… Viens, montons, j’ai trop envie de toi… Je poursuis néanmoins une bonne trentaine de secondes avant qu’un bruit ne la fasse sursauter et mette fin à cette douce caresse. Elle se lève. Nous montons plus calmement jusqu’au troisième étage, le notre. Sandrine me demande la clef alors que nous arrivons seulement à l’étage. Nous chambre est au bout du couloir, à une trentaine de mètres. Elle prend la clé et dit : — Je ne suis plus à une folie près, pas vrai ? Un instant plus tard, sa robe tombe à ses pieds et la voilà partie en trottinant, entièrement nue, jusqu’à la porte de notre chambre. Je ramasse la robe et la rejoins tranquillement. J’imagine la découvrir couchée en entrant dans la chambre, mais elle est debout devant la fenêtre, son téléphone à l’oreille. Elle y reste plusieurs minutes sans dire un mot. Quand elle baisse le bras, elle ne dit que cela : — Il m’a trompée, je le rappelle. Sa douceur et sa sérénité me sidèrent. Elle n’attendait que cela, ses ...