1. J'attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes. (5)


    Datte: 24/08/2021, Catégories: Zoophilie,

    ... les hommes se glissèrent l’un après l’autre dans ma chatte. J’appréciais leurs corps musclés, leurs sexes velus et odorants, leurs organes durs et gros. Le premier, celui que je suçai plonge son vit en écartant le chien qui me léchait la moule pour recevoir le sperme qu’il y avait lâché. Le zob du mec se noya dans mon trou plein de crème canine. Puis, au bout de quelques coups bien sentis, il décida de s’en extraire en disant : - Moi j’veux te prendre comme une femme. Sur le dos salope ! Je me mis donc tel qu’il me le demandait en écartant mes cuisses au plus grand. Il me bourra en missionnaire en murmurant des mots plutôt doux à mon oreille : - T’es bonne... y’avait longtemps...Oh ta chatte....Qu’c’est bon une femme...Et tes nibards ! Et, il se remontait un peu parfois pour me suçoter les tétons puis il les aspirait avec toute la force que lui donnaient ses lèvres ventouses avides de sexe. A d’autres moment, il s’appuyait sur un bras et, de l’autre i me pétrissait un nichon. Comme son chien, il éjacula puissamment en moi. Le second me reprit en levrette, sans me permettre de sécher, puis, au moment de grâce, il se ...
    ... retira pour m’offrir sa bite toute gluante dans la bouche où il juta. Le dernier enfin me prit debout, moi les mains appuyées contre la paroi en béton et lui derrière à me fourrer la chatte d’abord. Puis, il se mit à comprimer ma rondelle pour tester ma résistance. Et, comme je me laissais évidemment faire, il m’encula, lentement d’abord, le temps de pénétrer et puis, quand il fut bien là-dedans, il me secoua en me tenant par les épaules. Avant l’orgasme, il me fit mettre à genoux sous son gros dard pour se purger entre mes seins. A la dose de foutre qui s’épancha entre mes mamelles je reconnus qu’il devait y avoir longtemps qu’il ne s’était pas vidé les burnes. Je les remerciai chaleureusement. Comme le plaisir avait été réciproque, ils m’invitèrent de nouveau à revenir. Pourquoi chercher ailleurs ? Je les retrouvai donc tous les soirs avant de quitter Paris. Cela nous permit de varier les plaisirs et de me faire baiser en double, homme-homme, homme-chien. J’étais comblée... mais pour autant, j’avais envie de nouvelles sensations. Mon bel étalon me manquait... et je ne songeais pas à mon fiancé en priorité. A suivre. 
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