Confessionnal
Datte: 25/08/2021,
Catégories:
f,
fh,
religion,
fsoumise,
hdomine,
Masturbation
bougie,
fouetfesse,
théatre,
... mille ans Et que vous provoquâtes d’un péché insolent. Soyez obéissante pour avoir le pardon. Faites de la douleur au Seigneur votre don. Rejoignez vos deux mains et entrez en prière. Si vous restez stoïque, demain vous serez fière. Il vous faut extirper l’atroce maléfice Et offrir votre corps à Dieu en sacrifice. C’est par votre courage qu’au Seigneur vous plairez. De lâcheté ici on ne peut tolérer. Je m’en vais vous fouetter, sur le dos et les fesses, Pour cette transgression avouée à confesse. Oui je m’en vais zébrer un dos de pécheresse. La lanière s’abattra sans douceur ni paresse. À chaque coup reçu l’enfer s’éloignera, Inspirant la pitié au Dieu qui jugera. Pensez au paradis que vous allez gagner. À cette punition il faut vous résigner. Il vous faudra cacher à tous les cicatrices Que fait ce traitement aux forces rédemptrices. Il ne plaît au Seigneur que s’il demeure secret. Il faut un châtiment silencieux et discret. Dites le nôtre Père tandis que je cravache. C’est par votre martyre que l’hérésie s’arrache. Tous les démons s’enfuient et le bien victorieux S’impose peu à peu avec le Dieu glorieux. Pensez donc à Jésus flagellé par les gardes. Il est monté aux cieux et là il vous regarde. Il souffrit sa passion en montant au calvaire, Et c’est en l’imitant qu’au mieux on le révère. Je le brûle pour vous : respirez cet encens. Il vous fortifiera, affermira le sang Qui coule dans vos veines ainsi que sur l’autel, Reproduisant du Christ le don sacramentel. Incubes de ...
... l’enfer, fuyez je vous l’ordonne. Ce corps qui est à Dieu qui apaise et pardonne Lorsque la contrition pour Lui est suffisante. Plus grande est la douleur, plus elle Lui est plaisante. Vous êtes possédée par un démon lubrique. J’ai vu briller vos yeux de signes ésotériques. Il faut vous délivrer : offrez-vous bien docile, Car vous exorciser est un art difficile. Elle Il me faut avouer que c’est émoustillant Certes j’ai un peu mal mais il est croustillant Que de vous exposer, vous l’homme consacré, Ma nudité complète, toute ma peau nacrée. Frappez un peu plus fort, augmentez les sévices Dont vous me gratifiez et dont je suis novice. Je sens que vient en moi la sanctification, Et vous réclame encore ma purification. Par vous je veux souffrir le martyre des saints. Faites couler le sang sur mon dos et mes seins. Soyez impitoyable pour mon intempérance. Cent fois après ma mort j’aurai ma récompense. Prêtre Il suffit, taisez-vous, libertine insolente ! Je fais tout mon possible pour que le bien supplante En vous la perversion, que cesse le péché. Je m’en vais extirper le sensuel déchet. Je vous bande les yeux afin de vous surprendre. Vous ne saurez ainsi où mes soins vont vous prendre, Amplifiant votre angoisse, multipliant l’effroi. Mais vous êtes toute nue, peut-être avez-vous froid. Couchez-vous sur le dos et écartez les jambes. Je vais vous réchauffer de la bougie qui flambe. C’est le cierge pascal dégoulinant de cire : Par votre abnégation, Dieu calmera son ire. Le liquide brûlant ...