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Confessionnal
Datte: 25/08/2021, Catégories: f, fh, religion, fsoumise, hdomine, Masturbation bougie, fouetfesse, théatre,
... église. Je règlerai ma faute ainsi par l’autolyse. Allons finissons-en : il me faut une corde. Peut-être que là-haut j’aurai miséricorde. Peut-être aussi que non : je le saurai bientôt. Que dira-t-on de moi ? Qu’importe l’ex-voto ! Je l’ai autour du cou, la longe meurtrière. Mon remords est si grand qu’il n’est nulle prière Qui me vienne à l’esprit. La pénurie de prêtres S’aggravera demain : enfin qu’ils s’en dépêtrent. Il se pend. Ses jambes se débattent dans le vide. Scène 4 Le prêtre, la femme. La femme entre dans l’église et coupe immédiatement la corde. Elle Je retourne vers toi à l’instant favorable, Avant de te laisser faire l’irréparable. Car j’avais fait semblant de quitter cette église. Cette funeste corde ici je neutralise. Prêtre Je n’ose vous regarder tout droit au fond des yeux, Tant ma honte est immense : j’ai été envieux De votre joli corps dans un coup de folie. Ma raison a été un moment abolie. Je n’ose pas non plus vous demander pardon, Me mettant à genoux laissé à l’abandon. Vous pouvez décider tout ce qu’il vous plaira : Vous avez devant vous un sombre scélérat. Souhaitez-vous que je vive afin pour vous venger ? Voulez-vous que je souffre ? Je vais vous arranger : Faites-moi donc subir tout autant de souffrances, Car si vous l’acceptiez j’aurais la délivrance. Elle Mon cœur est assez grand pour tout te pardonner, Mais à une condition : il faut ta vie donner. Nous partirons ensemble car je veux que tu troques La soutane pour l’anneau : je veux que tu ...
... défroques. Tu as toujours été fidèle à ton église. Il faut qu’un autre lieu à présent tu élises. Tu viendras habiter mon humble appartement. Nous partagerons tout, unis douillettement. Tu as su te montrer un compagnon viril. Tu pourras me baiser encore et sans péril. Ne préfères-tu pas toujours me posséder ? Voudrais-tu de mes charmes qui sont à toi cédés ? Prêtre Je suis vraiment surpris par ta proposition. Mais je n’ai pas le choix dans cette position. Comment faire autrement face à cette amnistie ? Je ne dirai jamais plus une eucharistie. Elle Les hommes ici-bas sont naïfs tellement Qu’ils croient manipuler intellectuellement . Alors que c’est eux-mêmes qui sont en fait pantins De leurs pulsions sexuelles, aimables plaisantins ! J’ai croisé ton regard un dimanche à la messe. Alors j’ai demandé à te voir à confesse, Car mon cœur a bondi : j’étais de toi éprise. J’ai voulu que tu sois sous mon unique emprise. Ignores-tu ingénu qu’une femme peut désirer Son prochain plus que tout, au point d’être inspirée Par d’étranges manœuvres afin de te séduire ? C’est ce plan qui permet à toi de me conduire. L’histoire que j’ai contée hier était véridique : Mes pensées envers toi étaient très impudiques. Je me suis masturbée en pensant à ton sexe. Mais je ne dis pas ça afin que tu te vexes. Tu gardes cependant la liberté ultime De refuser ma grâce si c’est ton choix intime. Mais tu seras trainé comme tu dis dans la boue : Tu devras affronter tes perversions taboues. Tu peux encore choisir de ...