1. Un stage de formation intensive


    Datte: 26/08/2021, Catégories: fh, 2couples, hplusag, inconnu, sauna, boitenuit, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, échange, aliments, extraconj,

    ... devisent autour d’une coupe. Ils se lèvent tous deux, muets, lorsque je rentre avec ma robe qui ne cache rien. Ils sifflent de concert, et me demandent où je l’ai achetée. Mon boss parle de je ne sais quel catalogue spécialisé. Il a quand même à peu près deviné ma taille, car elle est juste un peu serrée sur mon buste. Nous nous installons à table, je fais part à Carla de mon étonnement concernant l’appel sans destinataire connu à son nom aux Ets de Courson. Elle m’informe qu’elle s’appelle Marie-Pierre le jour, et Carla le soir ! Nous rions franchement, puis mon patron raconte ma remontée des Champs-Élysée et comment il m’avait suivie à distance pour observer les réactions des passants à ma quasi nudité. Il le fait avec humour, sans (trop) en rajouter. Même moi, je finis par en rire à gorge déployée… Nos hommes se font coquins, et nous demandent de nous mettre seins nus. Nous avons droit à une analyse critique des avantages de chacune. Carla a des pointes plus foncées et pointues que moi, particulièrement érectiles, mais côté volume je gagne (90C contre 85B !). Ils font un pari : celle qui sera la plus regardée quand viendra le maître d’hôtel aura gagné. Lorsque celui-ci arrive, digne comme à son habitude, je triomphe haut la main ! Ensuite, nous devons tremper nos seins dans la crème pâtissière, et ces messieurs nous lèchent soigneusement, à tour de rôle, pour nous débarbouiller. Jacques sait visiblement mieux utiliser que Charles sa langue, ses lèvres et ses dents (et ...
    ... il y a sa moustache qui me fait tant frémir !), peut-être pas pour nettoyer, mais sûrement pour générer du plaisir. Entre deux fous rires, je sens celui-ci monter… Nous nous rhabillons pour reprendre la voiture de M. de Courson cette fois. Il traverse le Bois, Jacques a relevé ma robe si indiscrète et sa main se promène négligemment sur ma féminité qui s’ouvre à sa caresse, comme s’il en avait la propriété absolue. Cette fois nous ne nous arrêtons pas. Nous arrivons, près de Versailles, devant une grande bâtisse aux vitres teintées de noir, située au bord d’un bois. Une hôtesse peu vêtue nos accueille, elle est en rouge et noir comme tout le club : le bar, la piste de danse, et de multiples petits et grands salons aux architectures variées. Certaines salles ont de grandes verrières de part et d’autre, l’une d’elles a des lanières de cuir et des menottes pendues au plafond, une autre une table gynécologique. Avec, toujours, des lits ou des tables au milieu. Au fond, il y a des douches ouvertes et un grand jacuzzi. C’est la première fois que je pénètre dans un club échangiste. Quelques couples dansent en flirtant sans aucune gêne, deux femmes et cinq hommes discutent au bar, et dans une petite salle, une femme entièrement nue à la cinquantaine siliconée se fait prendre par deux athlètes. Les tenues féminines sont légères, mais j’aimante les regards, notamment celui d’un homme brun derrière le bar qui semble être le patron salué par de Courson. Jacques commande une bouteille de ...
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