Un stage de formation intensive
Datte: 26/08/2021,
Catégories:
fh,
2couples,
hplusag,
inconnu,
sauna,
boitenuit,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
échange,
aliments,
extraconj,
... regarde dans son rétroviseur. Arrivée en fin de course, me prenant pour une professionnelle, il me propose d’échanger le prix de la course contre unpetit câlin ! Je me précipite à une table libre placée dans un coin. Un homme assez âgé recrache son verre de bière en me voyant passer, et des conversations s’arrêtent. Je me cale dans le coin, le sac contre ma poitrine. Le serveur empressé qui vient prendre ma commande tente de regarder d’un œil brillant tout ce qui dépasse. Devant un café, j’attends mon boss, essayant de retrouver mon souffle. Un SMS sur mon portable : — Je t’attends devant le Fouquet’s ! Je vais devoir remonter la moitié des Champs-Élysées avec cette robe qui me laisse plus nue que nue ! Je dois d’abord traverser la chaussée, puis remonter sur le côté où il y a le moins de monde. Mais il y en a, du monde, des touristes surtout, en cette fin d’après-midi d’août. Je règle, puis sors d’un pas rapide. Décrire tous les regards que je croise est difficile : surprise, étonnement, indignation, envie, il y a de tout cela. Deux japonais me prennent en photo, des conducteurs klaxonnent en m’interpellant lorsque je traverse au feu. Je baisse les yeux, incapable de supporter ces centaines d’yeux sur mon corps. Une tomate paraîtrait pâle à mes côtés. Soudain, je sens deux mains se poser sur mes bras. Ce sont deux jeunes, type un peu loubards, qui m’encadrent fermement et me glissent : — Viens avec nous, la meuf, nous aussi, on a quelque chose à te montrer ! Je réfléchis ...
... à toute vitesse. Crier, me débattre, faire un esclandre, dans la tenue où je suis, c’est impossible ! Ils m’enserrent entre eux deux, commentent mon physique de manière plus qu’imagée, et me forcent à tourner dans la première rue à gauche. Ils vont vouloir me violer dès qu’ils auront trouvé un endroit adéquat… C’est alors que j’entends, juste derrière moi, une voix familière gronder : — Lâchez tout de suite cette demoiselle ! Nous nous retournons d’un bloc, l’un des garçons resserre sa prise sur mon coude : Jacques est là, les menaçant. Ils se toisent du regard, l’un deux effleure sa poche, peut-être a-t-il un couteau ? Et puis, soudainement, ils décrochent et s’en vont. J’éclate en larmes contre mon boss qui, pour la première fois, me serre fort dans ses bras. Après m’avoir réconfortée, il m’emmène dans le parking où sa voiture est garée. Je ne me rends même plus compte de tous les regards qui suivent notre couple. Dans la voiture, je me regarde dans la petite glace du pare-soleil. Je me fais peur, je suis hideuse, encore rouge de mes émotions et avec un maquillage qui a coulé. J’essaie tant bien que mal de réparer les dégâts, et Jacques a un geste qui me fait fondre : il entoure mes épaules, chastement, d’un bras puissant. Ce seul geste me regonfle, je lui souris, et nous arrivons dans le même restaurant que la dernière fois. Je le traverse avec une assurance toute nouvelle pour moi cette fois, fière d’être regardée, désirée, protégée. Nous retrouvons Carla et Charles qui ...