1. Un stage de formation intensive


    Datte: 26/08/2021, Catégories: fh, 2couples, hplusag, inconnu, sauna, boitenuit, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, échange, aliments, extraconj,

    ... lui aussi est fort calme, juste une sortie shopping avec ma copine Marion et une séance de ciné. Je lui raconte mon apprentissage et les remarques de mon boss sur ma tenue. Elle se moque de moi et me pousse à acheter, en solde, un petit ensemble un peu coquin, mais bien adapté pour l’été : jupe courte et débardeur bleu pervenche assortis. Le lundi matin, j’arrive avant même que l’accueil soit ouvert, de peur d’être en retard. Mon petit ensemble a fait son effet dans le métro, j’ai eu droit à des regards masculins appuyés. Je me mets au boulot, et j’entends soudain la voix de mon patron m’appeler. Il a dû rentrer par la porte d’accès direct à son bureau sans que je l’entende, son avion se posant vers 9 h. Un peu tendue, je rentre dans l’immense bureau. Il est assis derrière le sien, toujours dans un de ces costumes de grand couturier qu’il affectionne, vert tendre celui-là, avec une cravate assortie. Je m’avance vers lui, il me regarde pendant un long moment qui me paraît une éternité. Je me dandine d’un pied sur l’autre, mal à l’aise sous ce regard inquisiteur que je sens détailler, examiner mon corps sous toutes les coutures. Il me lance : — Élodie, avec la poitrine que vous avez, il est inutile de mettre un soutien-gorge ! En plus, cela fait des marques fort disgracieuses ! Avez-vous l’agenda de la semaine ? Rouge comme une tomate, je bafouille. J’ai un soutien-gorge, mais pas l’agenda ! Pourtant, j’avais été avisée que nous faisions le programme de la semaine le lundi ...
    ... matin. Je vais le chercher, et m’assois en face de lui en tirant autant que possible ma jupe sur mes cuisses. Je note ses rendez-vous extérieurs, ses réunions internes, ses hôtels, déjeuners et dîners à réserver, ses billets et voitures de location à commander. Lorsque nous avons fini, il ôte ses lunettes d’écaille et me dit : — Élodie, mercredi soir, j’ai un dîner au club. Pourriez-vous m’y accompagner ? Prise au dépourvu, je marmonne un timide oui. Il me précise que c’est un dîner habillé, me demande à quelle adresse il doit passer me prendre à 20 h 45 et me congédie. Me voilà à plein dans l’organisation de sa semaine. Il part à Londres cet après-midi, et ne revient que mercredi en fin de journée. Je pare aux urgences, ne mange qu’un sandwich. Il vient me saluer et prendre ses billets lorsque son taxi est en bas, et me dit : — À mercredi soir. J’appelle le soir même Marion et lui raconte l’invitation du mercredi pour laquelle je n‘ai rien à me mettre. Elle se fiche de moi en me disant que Thomas, lui aussi, doit bien s’amuser à New York, et qu’une tenue habillée, pour une femme en juillet, l’est justement très peu. Elle me propose de passer chez elle le lendemain soir pour voir si elle a quelque chose à me prêter. La journée du mardi se passe tranquillement. À la cantine, je me rends compte que je suscite des regards jaloux de la plupart des femmes, à l’exception d’Huguette, la secrétaire du Directeur de Production, que m’avait présentée Mme de Longueville. Je déjeune avec ...
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