Un stage de formation intensive
Datte: 26/08/2021,
Catégories:
fh,
2couples,
hplusag,
inconnu,
sauna,
boitenuit,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
échange,
aliments,
extraconj,
... elle, elle a la langue pointue, me raconte toutes les petites histoires de la boîte. J’apprends au passage que mon boss a une solide réputation de Don Juan, et que beaucoup de femmes travaillant ici aimeraient l’avoir pour amant. Vu son côté commère, je me garde de parler de l’invitation du lendemain. Le soir venu, je dîne chez Marion, puis nous la jouons «essayage ». En string et soutien-gorge, j’essaie à peu près tout ce qu’elle a d’un peu habillé. Je suis un peu plus forte qu’elle, surtout de buste (85c pour elle, 90c pour moi) et j’ai du mal à trouver mon bonheur. Nous choisissons finalement une robe noire, simple et courte, décolletée en V devant et en carré derrière, sous laquelle, bien entendu, je dois être seins nus. Elle me prête aussi une paire d’escarpins à talons assortie et un joli collier en argent plat qui ruisselle entre mes seins. — Tu vas avoir un succès fou ainsi, me dit-elle en me disant au revoir. Après une nuit où je rêve être licenciée pour manque d’élégance, la journée de boulot s’écoule, marquée en particulier par un appel courroucé de Mme Lelievre, qui ignorait que son mari était à Londres. Le soir venu, je dis à mes parents que je vais à un cocktail à la boîte. Ma petite sœur de 17 ans, Laura, tourne autour de moi pendant que je m’habille et me maquille pour tenter de m’arracher le nom de l’homme avec qui je dois sortir. Elle ne le saura pas ! À 20 h 45 précises, l’interphone sonne, et je descends précipitamment. Je suis sûre que Laura, au moins, ...
... m’épie par la fenêtre. M. Lelievre m’attend dans le hall, vêtu d’un costume noir et d’un nœud papillon assorti. Il me fait signe avec la main de m’arrêter lorsque je m’approche de lui, puis de tourner sur moi-même. Je le fais bien volontiers, ma jupe virevoltant autour de mes cuisses, et je vois avec fierté son œil s’allumer. Il me prend par le bras et m’ouvre galamment la porte de la grosse BMW noire. Je me glisse voluptueusement sur le cuir du fauteuil, dont je sens la caresse sur mes cuisses. Je suis presque couchée tant le dossier est bas. L’air y est frais, et une douce musique brésilienne remplit l’habitacle. Il démarre et me dit : — Je me doutais bien que vous pouviez être ravissante. Un peu tendue, je lui fais part des dernières nouvelles du bureau et de l’appel de son épouse, qu’il balaye d’un geste. Sa conduite reflète ce que j’ai perçu de son caractère : rapide, précise et sûre d’elle. Je ferme les yeux, bercée par la musique. Je sens les siens s’insinuer le long du bijou qui sépare ma poitrine. J’aime être ainsi regardée, désirée par cet homme si séduisant… Lorsque nous arrivons à son club, prestigieux bâtiment à l’orée du Bois de Boulogne, un voiturier s’avance. Mon patron m’ouvre la porte et lui confie les clés. De vastes lustres illuminent l’entrée, les plafonds sont couverts d’ors et de trompe-l’œil. Nous pénétrons dans un vaste salon. Il y a une dizaine d’hommes et deux femmes seulement. Je réalise que le plus jeune doit avoir au moins vingt ans de plus que ...