Un stage de formation intensive
Datte: 26/08/2021,
Catégories:
fh,
2couples,
hplusag,
inconnu,
sauna,
boitenuit,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
échange,
aliments,
extraconj,
... réaction. Toujours le même cérémonial pour monter dans sa BMW, et nous voilà en route. Nous rejoignons le centre de Paris, et il m’informe que nous allons retrouver M. de Cardon avec une de ses amies. Là aussi un voiturier, et nous traversons un restaurant très classe, en suivant le maître d’hôtel jusqu’à un petit salon à l’étage, assez intime. Charles de Cardon est là, accompagné d’une grande brune, style mannequin, avec une mini rose et un petit bustier blanc, dévoilant son nombril, dénommée Carla. Après une coupe de champagne, nous rejoignons la table dressée pour nous, couverts en argent et nappe brodée. La nourriture est très fine, caviar en entrée, gigot ensuite. Les hommes se sont lancés sur un échange passionné sur les mérites des différents moteurs pour les pompes à chaleur (que vendent les Ets Lelievre). J’en profite pour discuter avec Carla, assise à ma gauche. Elle vient de terminer son BTS de Com, n’a qu’un an de plus que moi et nous sympathisons. Elle est à l’essai chez Cardon pour rejoindre le service Pub. Nous nous trouvons même des amis communs… Elle est mon opposée, grande, brune, yeux sombres, petits seins haut perchés, et de longues jambes que j’aimerais avoir, mises en valeur par sa mini. Lorsque le garçon retire les restes de gigot, Charles dit, d’un ton coquin : — Bon, les filles, un petit dessert avant le vrai ? Je le regarde interloquée, mais je vois ma nouvelle copine se glisser sous la nappe, et croise un regard plein d’encouragement de mon boss. ...
... Je la rejoins anxieuse, elle s’affaire déjà sur la braguette de son patron. Je m’approche du mien, et, d’une main douce, lui flatte l’entrejambe. Il réagit immédiatement, et je sens sa virilité se tendre pour moi, sous mes doigts. Carla, derrière moi, fait déjà des bruits de succions révélateurs. J’ai du mal à extraire son sexe, il a un slip blanc, style kangourou, complètement démodé. Il va falloir que je m’occupe de ses sous-vêtements ! Je dénoue sa ceinture et son engin jaillit enfin, fin, long, orgueilleux. Je ne peux m’empêcher de le comparer à celui de Thomas, beaucoup moins élancé. Je le dégage bien, avec ses bourses. Le poil est comme ses tempes et sa moustache, poivre et sel. Je l’ai enfin pour moi, et caresse son méat, un coup de doigt, un coup de langue. Sa queue vibre sous mes caresses, ses couilles frémissent et durcissent. Je l’avale aussi loin que je peux, et mes doigts courent sur sa hampe comme sur le clavier d’un piano. Ma langue roule autour de sa virilité, et je le sens se tendre. Derrière moi, Carla a été plus rapide, à en croire les mots orduriers lâchés, entre deux gémissements, par Charles. Mon homme vient, et crache sa semence au fond de ma gorge. De longues giclées, que j’essaie d’avaler. C’est étrange, mais leur goût est plus sucré, moins acre, que celles des autres hommes que j’ai avalées. J’entends le garçon apporter les desserts, et reste sous la table jusqu’à sa sortie. J’émerge enfin, en même temps que Carla. Son rouge à lèvres a coulé, et de ...