Un stage de formation intensive
Datte: 26/08/2021,
Catégories:
fh,
2couples,
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inconnu,
sauna,
boitenuit,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
échange,
aliments,
extraconj,
... reconnais… ma rue ! Il s’arrête devant chez moi, descend m’ouvrir la porte et me dit seulement : — À demain… Je rentre chez moi, furieuse contre moi-même et contre lui. J’ai laissé mon boss regarder et caresser mon minou, mais j’ai été incapable d’assumer jusqu’au bout ! Demain, je suis bonne pour prendre mon solde de tout compte, et répéter une année de BTS. En plus, mes sens me tourmentent, voilà près d’un mois que Thomas est parti… Dans mon lit, je me caresse comme lorsque j’avais quinze ans. Cela me calme un peu, sans m’apaiser complètement. J’ai du mal à dormir, je repense à mon boss. C’est vrai qu’il est séduisant ; sa manière à la fois distante et empressée de me traiter, sa volontéde m’afficher, sa virile assurance m’attirent. Je n’ai vraiment pas l’habitude de sortir avec des hommes de cet âge. Mais c’est aussi mon boss, et il me faut me faire pardonner ma stupide réaction, et un plan germe dans mon esprit. Je passe le week-end en famille. Le lundi, une fois au bureau, j’ôte mon soutien-gorge, comme il l’avait requis. Mon corsage est assez transparent, et on devine facilement que je suis nue dessous. Je lui passe les appels filtrés, comme s’il ne s’était rien passé la veille. Le directeur commercial, M. Leduc, rentre dans mon bureau pour un meeting avec lui. Il tombe presque d’apoplexie en me regardant. Je joue l’ingénue. Une heure après, il ressort en se rinçant l’œil… Par l’interphone, mon patron me demande d’aller chercher M. de Cardon, un important fournisseur ...
... de moteurs, qui patiente dans la salle VIP. Je vais le chercher et reconnais un des convives de notre dîner au Bois. Il me mate sans détour. Lorsque je l’introduis dans le bureau de mon boss, celui-ci a un mouvement d’arrêt en me regardant. Puis il a un grand sourire, et me dit : — Très bien, Élodie, très bien ! Ce sera le seul contact physique de ce lundi avec mon chef. J’ai remis mon soutien pour déjeuner à la cantine, et l’ai ôté au retour. Sur ma messagerie, je découvre le message suivant :dîner demain même heure, signé Jacques Lelievre. Le lendemain matin, je refais le coup du soutien. Il m’appelle pour la signature du courrier. Son regard m’enveloppe et je sens le bout de mes seins pointer. Il reste totalement froid après son petit sourire habituel. Lorsque nous en avons fini, je demande d’une petite voix où nous sortons ce soir, pour savoir comment m’habiller. Il me fixe et me répond : — Comme la dernière fois, c’était très bien. Mais l’absence de dessous vous sied merveilleusement ! En fin d’après-midi, il me faut courir chez Marion récupérer la robe que je lui avais rendue. Elle est surprise de mon mutisme sur ma dernière sortie. À l’heure dite, je suis prête, malgré Laura toujours dans mes jambes. Je suis intégralement nue sous la robe. Lorsque je viens à sa rencontre dans le hall de mon immeuble, M. Lelievre glisse directement sa main sous ma robe et me caresse une fesse. Assuré de ma nudité, il répète une fois encore — Très bien, Élodie, très bien. Je reste sans ...