1. Un stage de formation intensive


    Datte: 26/08/2021, Catégories: fh, 2couples, hplusag, inconnu, sauna, boitenuit, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, échange, aliments, extraconj,

    ... côtés qui me rend si malléable, si excitée, si résignée à me montrer ? Son assurance virile, son expérience d’homme mûr ? En tout cas, j’aimerais pouvoir me lover contre son corps apaisé, là, dans mes draps. Mais je suis seule ! Ma semaine de travail s’écoule calmement, mes contacts avec M. Lelievre restent très professionnels, comme si rien ne s’était passé, sauf le petit jeu d’absence de soutien-gorge, lui aussi devenu traditionnel. Chaque fois qu’il me demande de réserver un restaurant pour deux en soirée, je ne peux éviter de me demander, un rien jalouse, si c’est avec une femme… J’essaie de rappeler Carla au bureau de M. de Cardon, mais, étrangement, on me répond que personne ayant ce prénom n’y travaille à la pub. Le samedi soir, je sors avec Marion, qui me présente deux de ses copains canadiens, Rick et Fred, de passage à Paris. Nous sortons en boîte, danser me fait un bien fou. Visiblement, mon amie a craqué pour Rick. Fred, un grand brun pas mal, s’intéresse visiblement à moi, et surtout à mes seins, qu’il pelote chaque fois qu’il peut. J’hésite un peu mais, finalement, demande à être déposée chez moi au petit matin, au grand désespoir de Marion qui se retrouve avec un homme de trop. Fred ressemble en fait trop à un assez jeune bellâtre sûr de lui, style que je n’apprécie guère ! Le lendemain, Marion, pas très contente, me reproche mon attitude, mais finit par m’avouer qu’elle a réussi à isoler l’importun pour se retrouver seule avec Rick comme elle le souhaitait, ...
    ... et que c’est un super coup. Mon boss ayant prolongé son week-end familial d’un jour, je finis plus tôt le lundi, et lui achète un caleçon et un slip genremoule-biteavec chacun de grosses lèvres féminines dessinées à l’endroit stratégique. Au moins, il comprendra l’allusion ! Aucune réaction quand je pénètre dans son bureau le mardi matin, le paquet déposé sur sa table a disparu. Regard appuyé sur ma poitrine libre, nous faisons l’agenda hebdomadaire. Il me bloque le jeudi à 19 h 30. Mercredi matin, je trouve à mon tour un colis sur mon bureau. Il s’agit d’une robe jaune dorée, en mailles synthétiques ajourées, sans manche, moyennement courte, avec un sage décolleté. Spontanément, je la trouve insipide, démodée et ne correspondant ni à mes goûts, ni aux tendances jusque là manifestées par mon patron. Je l’en remercie cependant à l’occasion. Le soir venu, seule chez moi, un peu intriguée, je l’essaie dans ma salle de bain. Et là, je réalise combien elle est troublante et érotique. En effet, tous les détails de mon corps sont visibles par transparence, je suis comme habillée nue. Plus je m’éloigne du miroir, et plus je suis «visible ». Mon boss est vraiment un coquin ! Message reçu mercredi après-midi : — 19 h 30, drugstore en bas des Champs, avec ton cadeau… Cette fois, il ne vient pas me chercher, et je ne peux décemment pas prendre le métro ainsi (dé)vêtue. J’opte pour un taxi, le chauffeur n’en croit pas ses yeux et nous frôlons l’accident à plusieurs reprises tant il me ...
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