1. Séminaire annuel


    Datte: 26/08/2021, Catégories: fh, fplusag, extracon, cocus, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral bourge,

    ... voulez bien.— Très bien, Madame, puisque vous insistez.— Bonne fin de journée ; à lundi.— Vous aussi. Merci, à lundi. Lundi matin, fidèle au poste, je suis arrivé le premier au bureau. J’avais du mal à me concentrer. Quand le comité de direction s’est terminé, le patron m’a demandé de le suivre dans son bureau. Pas le choix : j’allais devoir soutenir son regard. Je me sentais quand même un peu merdeux. Assis face à lui, le bloc-notes ouvert, le stylo debout, j’attendais ses instructions. — Sandrine vous apprécie beaucoup.— Merci, Monsieur ; c’est réciproque.— Vous viendrez donc ce soir ?— Bien sûr, Monsieur, avec grand plaisir.— Votre période d’essai se termine bientôt, Florent.— Oui Monsieur, fin de la semaine prochaine.— Pensez-vous qu’elle sera concluante ?— C’est vous qui en décidez, Monsieur, mais de mon côté tout va bien.— Je pense que je ne me suis pas trompé en vous recrutant.— Merci, Monsieur.— Ma femme vous trouve très bien elle aussi.— Elle est très gentille.— Oui, en effet. Vous savez à quel point elle peut être gentille, comme vous dites ?— Non Monsieur.— Ah bon ? Si vous me cachez des choses, je risque de mal le prendre.— Je ne comprends pas, Monsieur.— Vous comprenez très bien au contraire.— Non, je vous assure.— Vous aggravez votre cas.— …— Ma femme est-elle à votre goût ?— Mais Monsieur…— Décidément ! Trouvez-vous ma femme attirante ?— Euh… enfin, oui, Monsieur : c’est une très jolie femme.— Ah, quand même ! Elle est jolie, n’est-ce pas ?— Oui Monsieur.— ...
    ... Est-ce qu’elle vous fait bander, Florent ?— Euh…— Allez, soyez honnête. Est-ce qu’elle vous fait bander, oui ou non ?— Non… enfin oui… non enfin…— Écoutez, Sandrine et moi avons fait un pari. Elle était sûre que vous lui ouvririez la porte de votre chambre ; moi, je pensais que vous vous dégonfleriez. Elle avait raison.— Vous êtes donc au courant.— De tout, oui. Elle a joui plusieurs fois, et vous l’avez remplie de sperme. Elle était venue pour ça et elle n’a pas été déçue.— Mais vous parlez de ça sans colère ?— Aucune colère, au contraire. J’aime qu’elle se fasse plaisir.— C’est curieux…— Pour vous peut-être. Alors écoutez : ce soir vous venez, nous dînons, et vous la baiserez autant que vous voulez. Et vous habiterez chez nous tant qu’elle en aura envie. Mais soyons clairs : vous la baisez bien, ou dehors ! On s’est compris ? Des mois qui ont suivi, je pourrais raconter chaque détail, mais il me faudrait des centaines de pages. Je me suis installé chez eux, au service de monsieur le jour, au service de madame à chaque fois qu’elle me le demandait. C’était en pleine nuit, au petit matin, le week-end, sous la douche, dans la cuisine, dans le garage, dans le salon, dans sa chatte, dans son petit cul, dans sa bouche. Son mari restait parfois là à nous regarder en se masturbant mais ne la touchait jamais. Il l’encourageait, me félicitait, m’engueulait quand je n’y allais pas assez fort. Quand il était en déplacement nous dormions ensemble, nous endormant souvent « emboîtés » après ...