1. Le Chevalier Pervers 04


    Datte: 26/08/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur,

    ... sauve pour son amant. Je n'allais pas décourager une si bonne volonté. J'assemblais mes paysans, qui céssèrent de passer de tente en tente pour m'écouter. Laurence était à genoux à mon côté. Je la pris par les cheveux. -Cette catin est la maîtresse du Minché! Elle me supplie de laisser la vie sauve à son amant. Servez vous d'elle, et vous me direz après si son corps vaut la clémence. Je la poussais vers mes gens qui la saisirent de leur mains sales et sanglantes. Sa robe de nuit lui fut arrachée et son corps parcouru de mains inquisitrices. Ses tétons étaient malmenés et son con fouillé durement. Elle criait, pleurait mais ne se débattait pas, espèrant me complaire. Quand ils l'eurent placée à plat dos sur une table, un gros paysan l'enfila sans tarder. Un autre lui tira la tête en arrière pour lui fourrer la bouche. D'autres lui attrapaient les mains pour qu'elle les branle. Un nouvel assaillant prit la place du premier, alors que son visage dégoulinait du foutre de celui qui lui avait pris les lèvres. Avec quelques disputes, un autre prit sa place en bouche. Elle toussait et pleurait, mais affrontait la multitude de ses violeurs avec un certain cran. Bien sûr, comme souvent, elle protesta violemment quand après l'avoir placée à plat ventre, un des soldats se ficha dans son cul. La porte de derrière est souvent douloureuse à forcer. Mais comme une main l'attrapa par les cheveux pour profiter de sa bouche, ses cris ...
    ... furent étouffés. Un peu plus loin, une friponne subissait les assauts conjugués de trois hommes qui lui occupaient tous les trous. Je fis rassembler le butin. Il y avait là une quantité phénoménale d'or, de pierres précieuses, et de vaisselle précieuse. Je piochais allègrement dans l'or pour récompenser mes combattants. J'avais essuyé de lourdes pertes, malgré les stratagèmes déployés. Je gardais la part des morts pour dédommager les familles. Une fois ce cérémonial achevé, je fis placer le Minché sur son bûcher, afin d'obéir à la décision l'excommunication de l'église à l'égard des soldats perdus. Il fallut assommer sa maîtresse, qui insultait mon nom et maudissait ma descendance. Pour ses hommes, on se contenta de les pendre, à l'exception de deux ou trois qui nous avaient livré les caches des trésors et qui s'enrolèrent sans tarder dans ma compagnie. Mais il me fallait de nouveaux gens. Je songeais en mon château, si le terme pouvait convenir à ce gros corps de ferme, que tout cela devait trouver une solution rapide. Le traité de paix avait déjà quelques mois, et il faudrait des troupes fraîches et si possible vaguement aguerries. Après quelques semaines de recherches dans les geôles locales et d'entraînement, je fis prendre la chauve-souris à un vingtaine de nouveaux compagnons. Il était temps, d'ailleurs, le comte m'avait écrit pour m'informer que son ost prenait de nouveau le chemin de la guerre. SERA POURSUIVI PLUS TARD 
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