La détresse de l'aide soignante (2)
Datte: 26/08/2021,
Catégories:
Hétéro
... avec un air surpris, et c’était bien normal. Ce n’était pas elle qui avait demandé de l’aide, c’est moi qui lui en avais proposé. Peu de chances, donc, qu’elle sache comment je pourrais m’y prendre. Mais je voulais la pousser un peu dans ses retranchements, lui faire mettre des mots sur ce dont elle avait envie. Pour l’aiguiller un peu dans sa réponse, j’ai fais glisser ma main un peu plus haut sur sa cuisse, passant sous sa robe. — Vous avez des soucis avec votre travail ? Julie a fait non de la tête, et ma main est remontée un peu plus haut, a glissé un peu plus à l’intérieur de sa cuisse. — Vous avez des soucis avec vos amis ? Encore un non de la tête, et ma main qui remonte encore un peu. — Ou bien vous voulez que je vous aide avec ça ? Ma main venait de se plaquer contre son entrejambes. Je sentais le corps de Julie qui palpitait, et la chaleur qui s’en dégageait. — Oh mon Dieu, a-t-elle fait dans un souffle. Oui... Oui c’est ça. C’est de ça dont j’ai besoin. — Dites le moi. Comment je peux vous aider ? Elle venait de craquer, mais je voulais la pousser encore. Julie a pris son verre et l’a fini d’une traite. — J’ai envie qu’on me baise. — Depuis quand tu n’as pas baisé ? ai-je demandé en insistant bien sur le tutoiement. — Trop longtemps. Ma main malaxait maintenant son sexe, à travers son collant et ses sous-vêtements, et déjà Julie haletait. Elle a lâché son verre et s’est jetée sur moi pour m’embrasser. Mais je ne me suis pas laissé faire, j’ai retiré ma main et ...
... l’ai gentiment repoussée. — Attends, attends, ne crois pas que ce sera si facile. Je prenais conscience de mon sadisme, alors qu’elle me regardait avec ses yeux de biche qui ne comprenait pas grand chose à ce qui lui arrivait. — Je te demanderais dans un premier temps de te lever et de te déshabiller. Julie eut un léger sourire, comme si je plaisantais, mais ce sourire s’est rapidement effacé. Elle a pu lire dans mes yeux que j’étais tout à fait sérieux, et que c’était une condition sine qua non si elle voulait aller plus loin. Alors elle a fini par se lever lentement et me faire face. Ne sachant visiblement pas trop par où commencer, elle s’est d’abord penchée pour défaire ses bottines. Puis elle a passé les mains dans son dos, défait la fermeture éclair de sa robe. Celle-ci a glissé lentement de ses épaules, le long de ses bras, mais Julie l’a retenue en me regardant. Je l’ai fixée, comme pour lui dire que non, je ne changerai pas d’avis. Alors Julie a laissé sa robe tomber sur son ventre et ses jambes. Instinctivement, elle a tenté de cacher sa poitrine. — Le collant maintenant, lui ai-je dit avec une certaine froideur. Julie a baissé ses mains, et a fait rouler le collant le long de ses jambes. Elle s’en est défaite comme elle a pu, et s’est retrouvée en sous-vêtements face à moi. Ses mains, hésitantes, sont remontées pour couvrir sa poitrine, avant de finalement venir se coller le long de son corps. Je la regardais maintenant avec attention. Ses seins, d’une très belle ...