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COLLECTION SM. Le chemin de ma cave voûtée. (3/3)
Datte: 26/08/2021, Catégories: Dans la zone rouge,
... comme j’entendais maman geindre je me suis approché de la chambre heureusement fermée et j’ai distinctement entendu un bruit de cuir sur un objet et chaque fois maman disait oui oui. J’étais déjà adolescente quand avec du retard mon corps s’est ouvert à la sexualité et pour arriver à endormir le mal qui me taraudait les entrailles chaque fois qu’une crise me prenait j’avais comme seule solution de me tordre mes grandes lèvres et de pincer fortement mon clitoris et de finir par jouir en le caressant délicatement après qu’un premier orgasme m’est traversé. Puis j’ai commencé à me mutiler me mangeant les doigts, non pas en m’enlevant les peaux mortes mais en me rognant les phalanges. Heureusement Vivian est arrivé et dans un premier temps je me suis assagi et me suis contenté de sa verge en moi jusqu’au jour où il a eu le malheur, non le bonheur, de me fesser avant de m’enfiler sauvagement derrière la porte d’entrée. Ce matin il y a quatre jours que je suis enfermé et que mon ventre est vide, j’aime quand je suis libéré voir dans la glace de ma salle de bain mon ventre creusé ce que j’avais perdu l’habitude car comme toute fille devenue sédentaire mes formes s’arrondissaient. Toute la journée j’entends des allées et venues allant même jusqu’au bruit de la poignée de ma chambre que l’on touche sans possibilité d’ouvrir Vivian m’enfermant systématiquement et partant avec la clef. La pièce où je me trouve est fermée par des volets roulants quand je vois que la nuit est tombée. ...
... Je suis sur le bidet en train de me laver la chatte car malgré mon isolement mon hygiène est primordiale surtout que jusqu’à hier j’eusse mes, bref, quand j’entends la porte s’ouvrir. Mon tortionnaire tend aimé surtout depuis qu’il a découvert mon secret de domination vient devant moi et sans un mot me met une cagoule certainement en cuir sur le visage. Tous mes sens sont obstrués sauf ma bouche qui reste libérée grâce à un trou lui permettant de placer sa verge qu’il me fait sucer. Je le prends par les couilles que je caresse les serrant légèrement. Un coup de cravache sur mon dos me rappelle que je dois être douce. Quand son estomac est vide depuis des heures la sève qu’il m’envoie est suave même si elle manque de saveur surtout maintenant ou je ne vois rien et n’entends rien le goût étant le seul qu’il me reste libre. Quand j’ai bien dégluti, je sens qu’il tire sur une fermeture qui m’empêche de parler m’isolant définitivement de ce monde. Un coup de sa cravache me fait comprendre que je dois le suivre, un autre alors que je suis debout me fait comprendre que je dois marcher à quatre pattes comme la chienne que je suis devenue pour lui. Le noir me fait penser à un nouveau jeu et qu’il va me faire faire le tour de l’appartement avant de me faire rentrer à ma niche. Un léger courant d’air frais malgré la chaleur de cet été me fait voir que je me trompe et un bref instant les picotements que le tapis de notre appartement se fait sentir sous mes genoux me montrent que nous ...