1. COLLECTION SM. Le chemin de ma cave voûtée. (3/3)


    Datte: 26/08/2021, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... sortons. La honte me prend d’être nue pour aller dehors et j’ai des velléités de me relever, le coup de cravache qu’il m’assène doit zébrer mon postérieur et je reprends ma position surtout que nous avançons de nouveau. La surface froide et les trépidations avec un bruit assourdi qui me parviennent me font comprendre que nous sommes dans l’ascenseur. J’espère qu’aucun voisin ne va sortir ou entrer chez eux leur faisant voir que je suis soumise à mon maître mari. La sensation qui m’assaille est très étrange et bien plus jouissive que celle que j’ai ressentie dans les bois de la Ferté. Comme aujourd’hui j’étais nue mais à part le chauffeur qui est venu à notre secours j’ai échappé à la vue d’autres personnes. Il est drôle de vivre sans voir et d’avoir des sensations par le toucher. Présentement c’est le froid du béton qui déchire mes genoux qui me font voir que nous sommes certainement dans le garage à voitures. Depuis notre aventure dans les bois je suis resté à la maison soit enfermée nue soit à regarder la télé, sortir même de nuit va me faire du bien et surtout je vais autant mouiller qu’en ce moment ou s’il passait sa main sur ma chatte il s’apercevrait que je suis ruisselante. Un bruit de coffre qui s’ouvre et la cravache me donne l’ordre de monter, je me redresse tâte le pare-choc et je roule à l’intérieur. Je loupe mon coup et je m’affale aux pieds de mon dominateur qui pour me punir m’assène un grand coup de cravache sur ma fente qui me fait hurler au travers de ...
    ... ma cagoule. Je me redresse et je recommence la manœuvre, j’ai tellement aimé ce coup reçu me déchirant la chatte que je retombe de la même façon mais Vivian doit comprendre que je le fais par goût et rien ne vient, j’apprécie le masochisme à l’envers que j’aimerais qu’il me fasse subir plus souvent. J’entre donc et étant déjà dans le noir le léger bruit du coffre qui se referme après qu’il a jeté la chaîne à l’intérieur atterrissant sur mon corps mais sans me faire mal me confirme que je sors avant de revenir et de faire le chemin à l’envers mourant de honte si l’on me voit dans ma déchéance volontaire. Nous roulons de longues minutes et à chaque fois que la voiture passe dans un trou ou un ralentisseur Vivian qui doit être au volant accélère et je suis ballotté comme un vulgaire sac dans tous les sens. Je suis sûr qu’à notre retour j’aurais des bleus mais que voulez-vous quand on aime souffrir ces chocs sont doux à supporter. Nous nous arrêtons après une nouvelle fois que je suis ballotté de droite à gauche ou de gauche à droite. Un chemin de terre, nous venons de prendre un chemin de terre, la voiture fait demi-tour comme si Vivian voulait être dans le sens du retour. Le coffre s’ouvre et sans ménagement il me balance au sol. Je sens que l’on me passe des menottes aux chevilles entravant mes mouvements. J’entends sourdement la voiture partir et le silence de la nuit s’installer en moi. Un long moment j’attends pétrifié de peur alors que quand nous sommes arrivés j’étais ...