1. Participation


    Datte: 26/08/2021, Catégories: ffh, jeunes, freresoeur, vacances, bain, chantage, Oral 69, pénétratio, ecriv_f,

    ... participer. Une seule fois. Après, je vous laisserai tranquille. Ce sera notre secret.— Tu crois qu’elle va accepter peut-être ?— J’en suis sûr. Parle-lui de ce que tu viens d’entendre. Je veux une réponse définitive ce soir. Je rentre dans ma chambre et je m’assois sur mon lit. Je dois dire que je suis très étonné de ma performance, car je ne me croyais pas capable d’être aussi déterminé et aussi inflexible. Mon ordinateur s’est mis en veille et je vois défiler devant mes yeux toutes les photos de cul que j’ai trouvé sur le net. Mon sexe réagit vivement à ces images et je ne peux m’empêcher de glisser une main sous mon caleçon. Je saisis ma queue et me branle lentement en regardant les photos de femmes nues, qui se lèchent ou qui s’enfoncent des godes. Je jouis rapidement, excité par la perspective de me retrouver avec deux filles, même si j’ignore totalement quelle décision elles vont prendre. L’après-midi, la chaleur se fait plus forte et tout le monde reste au frais dans sa chambre, à la recherche du moindre courant d’air frais. Aux alentours de trois heures, je reçois un mail de ma sœur. Elles acceptent de se plier à mes désirs. Elle m’explique qu’Emilie sera là vers cinq heures. Elle propose également que l’on descende à la rivière où l’on sera tranquille. De telles initiatives ne venant certainement pas de ma sœur, je suppose qu’Emilie a décidé de prendre les choses en main, ce qui ne me plaît qu’à moitié. Mais je suis très satisfait de la tournure que prennent les ...
    ... événements et je ne peux m’empêcher de me masturber encore une fois en prenant ma douche. L’eau froide me rafraîchit, mais une fois sorti de la salle de bains, la chaleur m’enveloppe tout entier et je sue sans faire un mouvement. Je m’allonge sur mon lit, dans l’obscurité totale et j’attends que les heures passent. L’heure fatidique est arrivée et avec elle Emilie. Je la vois sortir de sa voiture, éclatante de beauté. Elle porte une grande robe à fleurs qui descend jusqu’aux chevilles. Tandis qu’elle avance sur le chemin, je lève les yeux vers les montagnes et je vois que de gros nuages noirs s’y accrochent. L’atmosphère a changé, la chaleur a fait place à un temps plus lourd, plus suffocant, plus pesant sur les épaules. Pourtant, au-dessus de la maison, c’est toujours le soleil qui domine. Je rejoins les filles dans la cuisine et nous partons avec nos maillots de bain. Pendant le trajet, je marche derrière elles, à une dizaine de mètres d’intervalle. J’entends Emilie parler, chuchoter et rire, mais ma sœur reste silencieuse. Je me rends compte que plus le moment fatidique et tant désiré approche, plus je me sens oppressé. Sur place, pour ne pas être pris de court, je me déshabille rapidement et cours dans l’eau où je m’assois. Mon maillot de bain noir me semble être un dernier rempart contre Emilie. Cette fille me fascine et m’inquiète. Le soleil disparaît, les nuages noirs, menaçants sont au-dessus de nous et paraissent attendre le début des festivités. Emilie laisse tomber à ...