Derrière La Porte
Datte: 01/07/2017,
Catégories:
Gay
... réprobation, moitié d'excitation. Il ne s'arrête pas, continue de me caresser, tout en me murmurant des horreurs à l'oreille. Il me dit tout ce qu'il veut me faire, comment voir son sexe entrer entre mes lèvres, comment il va prendre ma virginité, comment il veut me retourner, me remplir, me forcer à le chevaucher, me rendre accro à sa bite. « Je vais te retourner comme une crêpe », m'avait-il écrit pendant une session de sexting, « tu n'oseras même pas penser à ce que tu auras fait avec moi, tu auras trop peur de rougir en public ». J'entends le volume de la musique monter dans la pièce d'à côté, alors que je suis trop excité, et commence à agiter les hanches, sous l'effet de ses doigts. Involontairement, je commence à branler son sexe avec mon cul, l'encourageant à me caresser avec davantage de perversité, ce qu'il fait. Je sens sa bite au travers de son jean tracer un sillon entre mes fesses, épousant parfaitement la fente entre celles-ci. Je me gifle mentalement de l'étrange sentiment de fierté que je ressens à le sentir aussi dur. Je ne devrais pas penser ça, je ne devrais pas me sentir aussi excité, ni m'agiter avec autant de lascivité contre lui. J'étais venu tout arrêter, pas aller plus loin. Ses caresses se font plus lentes, je peux reprendre un peu mes esprits. Il s'arrête. « Tourne-toi », dit-il. Ce n'est pas une requête. Comme « Envoie-moi une photo de ton cul », comme « Dis-moi comment tu réagirais à une fessée inattendue ». Comme tous ses ordres, il prononce ...
... la phrase sur un ton qui ne souffre aucune réplique. Comme à tous ses ordres, j'obéis, en baissant les yeux. D'un geste, il me fait mettre à genoux. Il continue de sourire : « Tu en as tellement parlé, tu sais quoi faire... ». La suite se passe comme dans un rêve. Mauvais ou non, je ne sais pas, mais la transition entre mon entrée dans la pièce, déterminé à mettre fin à une relation, et la sensation étouffante de son pénis sur ma langue, entre mes lèvres, me semble totalement incompréhensible. Il glisse ses doigts dans mes cheveux, m'encourage doucement, me félicite. Je le regarde par en bas, pour me retrouver face à un téléphone. « Il me faudra bien un ou deux petits souvenirs », glousse-t-il, immortalisant son gland sur ma langue tendue. Il décide très vite de passer à autre chose, alors que ma tête tourne encore de mon incapacité à comprendre ce qu'il se passe. Il me fait aller vers le fond de la pièce, où nous entendons moins bien la musique. Fermement, il m'allonge sur le lit, enlève mon boxer et fait glisser mon t-shirt par-dessus mes épaules. Je me laisse faire, sans broncher. Ca ne sert à rien de se mentir, me dis-je en me sentant moi-même rougir. Son regard se pose, appréciateur, sur moi. Sur mes hanches, sur mon sexe, sur mon cul. Il m'attrape par les cuisses, et me tire à lui. J'ai les cuisses largement écartées pour encadrer sa stature musculeuse, sa bite est posée, longue et nue, sur mon bas-ventre. Il savoure sa future victoire comme un conquérant, ses épaules ...