1. Chloé/Elina rencontre des joueurs en ligne (4)


    Datte: 28/08/2021, Catégories: Dans la zone rouge,

    -- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS -- Après la soirée de bacchanales, transition ou « Quand Chloé laisse sa vie lui échapper et décide de devenir Elina » J’ouvre les yeux, je suis toujours dans le noir, les yeux derrière le bandeau que l’on m’a posé lorsque je suis arrivée. Je n’entends pas un bruit mais ce n’est pas cela qui me surprend le plus. Je suis à nouveau suspendue à la croix sur laquelle j’avais déjà été écartelée à mon arrivée bras et jambes écartées. Mes poignets et mes chevilles sont serrés très forts avec des liens de cuirs qui me coupent la circulation sanguine. J’ai dans mon vagin des boules de geishas et dans mon anus un gode : tous les deux vibrent. En plus des pinces que j’ai depuis le commencement, j’ai maintenant des pinces sur mes grandes lèvres et une pince acérée qui comprime la langue que je possède à l’entrée de mon abricot. Je veux crier car, là, ça va trop loin, mais aucun son ne sort de ma bouche : je bave car on m’a placé un objet de torture tel que j’en ai vu sur les sites pornographiques : une boule qui me maintient la bouche grande ouverte, qui m’empêche de parler, de crier, d’appeler au secours, qui m’empêche de respirer normalement par la bouche. Prise de panique, je me mets à pleurer et prise de spasmes, les sécrétions que secrétait mon nez se mêlent à la bave et aux larmes. J’aurais voulu m’essuyer mais je ne le peux pas. Il faut que je retrouve mes esprits et que je réfléchisse, la panique ne m’apportera rien. Je me calme ...
    ... donc, je cesse de pleurer, de tenter vainement d’arracher des liens, qui, je le sais, ne rompront pas. Je me concentre à faire le moins de bruit possible en respirant et doucement et en ne bougeant pas. Je crois percevoir une respiration à peine audible et le mouvement léger d’un corps qui effleure un canapé, un lit ou un coussin. Ainsi, je ne suis pas seule ? Quelle heure est-il ? De quel jour ? Depuis combien de temps suis-je là ? Combien de temps cet homme va-t-il me garder prisonnière ? Que va-t-il me faire ? A-t-il pour projet de me tuer ? Mon ventre est noué par la peur. J’alterne entre périodes durant lesquelles je me débats vainement et temps d’acceptation où je ne bouge ni ne cherche à crier. Quand je suis calme je sens bien les vibrations des objets électriques qui ont été introduits dans les deux orifices qui sont sensibles aux mouvements et qui savent déconnecter mon corps et ma tête, les orifices qui sont la porte d’entrée de l’univers où je suis une chienne déchainée. En tendant l’oreille, j’entendis dans un appartement voisin un couple qui fait l’amour tendrement. Les murs de cette cité ne sont pas bien épais et j’entends presque tout ce qu’ils se disent. Il lui dit qu’il la trouve belle, elle sa femme, sa promise, son unique, il lui dit combien il la désire, elle et aucune autre, il sait qu’elle est pure et il aime en elle sa fidélité, sa pureté et que ça lui donne envie d’elle. Elle lui répond qu’il est beau, qu’elle lui appartient toute entière, qu’elle n’a ...
«1234...9»