1. Chloé/Elina rencontre des joueurs en ligne (4)


    Datte: 28/08/2021, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... jamais appartenu à aucun autre et n’appartiendra jamais à aucun homme car il la comble d’amour et de tendresse, il a d’elle une femme à la fois digne et sexuellement apte à le satisfaire et satisfaite elle-même. Après ces préliminaires, j’entends des bruits de baisers fougueux, de sucions puis il a dû la pénétrer car elle gémit tandis que le lit grince et que la tête de lit tape contre la cloison. A les attendre baiser, à nouveau, mes orifices, que les vibromasseurs titillent en permanence se contractent comme si mon cœur battait non pas dans ma poitrine mais entre mes cuisses. Je frotte mes hanches contre la croix en bois sur laquelle j’étais écartelée, j’essaie de ressentir plus les sex-toys mais si leur vibration est agréable et excitante, elle me laisse frustrée. Privée de mains et de queues qui m’assaillent, qui s’enfoncent en moi ou malaxent mon bourgeon charnu, je suis privée d’orgasme, je suis en état de désir fou permanent et je ne suis la femelle de personne, ce qui m’est plus douloureux que les pinces à seins ou les liens autours des poignets et des chevilles. Ces ébats lointains rappellent ceux de Chloé mais le corps qui est à nouveau tordu de pulsions de démence animale est le corps d’Elina. Je reconnais les coups de boutoirs aux bruits qu’ils font contre le mur et j’entends qu’ils s’accélérèrent. Elle feule la première et quand il gueule son extase, elle accueille son trop plein jute blanche en lui criant : « Donne-moi tout, je suis à toi ! » ». Je n’en peux ...
    ... plus. Ma chatte est douloureuse de cet insoutenable désir de queues entretenu par les voisins qui baisent et par les objets qui m’excitent les parois de mes parties sensibles. Pour passer le temps et faire patienter mes désirs, je me remémore les bacchanales d’avant mon profond sommeil et j’ai, par moment, l’impression qu’il s’agissait d’un rêve sauf que mon corps me fait bien sentir comment il revit avec bonheur ces scènes où il avait pris le dessus sur l’intellect bien rangé qui était le mien. Mon corps déchainé s’est résigné à l’immobilisation totale qui dure depuis des heures au point que mes membres sont terriblement douloureux, mon corps accepte tout pourvu que mon cerveau ne reprenne plus le dessus. Les souvenirs défilent encore et encore quand soudain Il s’approche de moi. Je ne sais rien de Ses intentions et je suis terrorisée. Si j’avais été détachée rapidement après mon réveil, j’aurais peut-être enlevé mon masque, je me serais enfuie, j’aurais mis un terme à cette expérience qui, je trouvais, été allée trop loin. D’avoir entendu ces voisins crier leur jouissance ainsi que cette attente qui dure depuis des heures générant douleur des poignets et des mains, des chevilles et des pieds immobilisés, engourdissement généralisé de tout mon corps, d’avoir senti les objets vibrer en moi entretenant un état d’excitation permanente ; tout cela a annihilé en moi mes capacités à résister à l’Agresseur. Je Lui sais gré de vouloir bien s’approcher, enfin, de moi, minable objet ...
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