1. L'acteur de film X et la DRH (2)


    Datte: 28/08/2021, Catégories: Trash,

    — Toi dans un porno, j’avoue que cela m’excite. — Moi plus ! je n’en regarde plus depuis. — Il faudra que tu me les fasses voir un de ces quatre. Je m’étais levé pour me servir à boire quand elle se colle contre mon dos. Sa main est déjà sur ma queue quand je me retourne en posant mon verre. Sur sa romaine, je la couche et nous baisons encore comme des porcs. Je crois l’avoir émoustillée en lui parlant de ma jeunesse complètement folle. Je subodore même qu’elle aurait assez envie que je lui fasse tout ce que j’ai fait dans ces trois films où j’apparais. Je ne crois pas qu’elle aimerait voir le dernier, pour moi, c’est un film gore parce que je n’ai pas fait que baiser cette femme, je l’ai cognée selon ses désirs à elle. Cognée comme on boxerait un mec, fouettée comme on fouetterait un détenu dans les temps ancien. Il n’y avait rien de sexuel, juste un mec qui fait ce que lui demande sa partenaire. Dire que je n’avais pas joui d’elle serait mentir. Mais battre une femme, lui faire un œil au beurre noir, non, lui cingler le dos jusqu’au sang, la chatte jusqu’au ne plus pouvoir la pénétrer sans qu’elle n’hurle, lui casser son cul à coup de martinet jusqu’à lui donner une couleur noir, non, je ne pourrais plus. Baiser, baiser encore, voilà ce que nous faisions sur cette terrasse. C’est la fraicheur de la nuit qui nous a obligés à nous réfugier à l’intérieur. Elle marchait devant moi, j’avais l’impression d’avoir une copie de la plantureuse femme de Roger Rabbit sous les yeux, ...
    ... c’est vous dire ses formes. Elle m’emmène dans sa chambre, une chambre à son image. — Tu me verrais comment pour faire de moi une salope encore plus cochonne ? — Avec un corset pour commencer. Mais un qui laisse ta belle poitrine gonflée posée sur un joli balcon de dentelle. Je le verrais noir avec en dessus un chemisier blanc, légèrement transparent. Pour le bas, une jupe étroite un peu fendue à l’arrière ou sur le devant. Pour les pompes, des talons aiguilles d’une bonne dizaine de centimètre, voire plus. Pour tes cheveux, un chignon bien sur le sommet du crâne et une paire de lunette neutre. — Je vois, le genre pute de luxe ! — Non, femme d’affaire aguicheuse. Mais on peut aussi agrémenter la chose avec un fin collier de cuir à ton cou et une courte chaine accrochée, bien en vue, qui descend entre tes beaux seins. Comme culotte, une chaine nouée à la taille et fixée dessus, une autre qui joue avec ton sexe et ton cul. — Je crois que j’ai enfin trouvé un mec qui a des idées suffisamment perverses. Toi, mon colon, je ne vais plus te laisser filer. Sur ses mots, elle m’ouvre un immense dressing. Elle me demande de lui choisir sa tenue pour demain. Alors, je fais mes courses. Là, la jupe, ici, le chemisier, là, des dessous et ici, oh surprise, un corset satiné, recouvert de belles dentelles. Ce n’est pas un corset de pacotille, c’est un corset fait main, sur mesure. — Dommage qu’il manque les chaines. Voilà ta jupe, ton chemisier et le corset. Pas de bas, ni de collant, juste des ...
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