L'acteur de film X et la DRH (2)
Datte: 28/08/2021,
Catégories:
Trash,
... talons aiguilles, les plus vertigineux que tu possèdes. — Serais-tu m’obligé ? — C’est à toi de voir ! Mais je suis capable de bien des choses si tu ne te défile pas comme les autres. — Pervers ? — Moui, on peut dire ça comme ça. J’aime soumettre une femme à mes gouts. Qu’ils soient vestimentaires, comportementales ou autres. J’aime fesser si la belle n’est pas farouche. J’aime l’attacher pour mieux la faire jouir. Mais je déteste frapper une femme comme j’ai pu le faire par le passer. Ne me demande jamais ça, tu ne me verrais plus. — Je ne vais pas exiger que tu me frappe comme une pute de bas étage. Je te préfère comme amant intéressé par une femme qui te demande de prendre soin d’elle. — Là oui, viens, j’ai envie de ton cul. Ma queue s’enfonça comme dans du beurre dans ce cul si, si…merveilleux. D’une main, elle se branlait pendant que j’allais et venais dans son anus. Nous avons joui ensemble avant que nous prenions une douche et allions prendre un peu de repos. À huit heures, nous arrivions ensemble. Cela eut l’air de profondément déplaire au jeune de la réception. Jeanne me guide vers ma place de travail. Une salle de soudure climatisée, le pied. Le temps de sortir mes affaires du coffre de ma moto et me voilà déjà au travail. S’il n’est pas fastidieux, il n’en est pas moins épuisant mentalement parlant. Je soude de petites pièces, il faut que la chose soit faite avec la plus grande précision. Après le travail, je me retrouve chez moi, complètement vidé. Je sortais de ...
... ma douche quand elle entra dans mon modeste appartement. Elle porte la tenue, celle-là même que je lui avais préparée la veille. WAOOOW, elle n’en est que plus belle encore. À son cou, je vois un petit collier de cuir rouge, bien visible avec sa courte chaine qui se glisse entre ses seins. D’une main, tenant cette chaine, j’attire cette plantureuse femme à moi, l’embrasse comme un porc. — Demain, je veux que tu le porte au travail ! — Tout ce que tu veux mon bel amant. Je suis venue pour tes cassettes de cul. Je me suis branlée à l’idée de les visionner avec toi. — Vilaine cochonne, elles sont là, sur l’étagère. Celle de droite est le premier film. J’allumais la télévision pendant qu’elle glissait la cassette dans mon lecteur. Après une dizaine de minute, j’entre en scène. Ma belle peut me voir me faire sucer pendant que l’autre mec fustige durement le cul de ma suceuse. Elle me voit encore enfoncer ma main toute entière dans le sexe de cette femme puis l’autre dans son cul. Enfin, l’autre actrice qui enfonce sa langue dans mon cul. L’autre acteur n’est là que pour fustiger les corps. On ne voit jamais sa bite, il ne baise pas, il fouette. Jeanne peut me voir, et cela la surprend d’autant plus, enculé par la main de la plus jeune des deux actrices. Elle m’enfonce lentement sa main pendant que la masochiste me suce en se faisant cravacher le dos. Quand Jeanne voit l’avant-bras complètement dans mon cul, elle met la vidéo sur pause et se tourne vers moi. — Tu t’es laissé faire ? ...