Mon dernier camp scout (1)
Datte: 28/08/2021,
Catégories:
Gay
... tomber, je ne suis pas certain de ce que je vois. C’est un scout. Je ne le reconnais pas. En fait, ils sont deux. En me rapprochant, doucement, je réalise qu’ils ne portent pas la chemise règlementaire. Mon coeur s’accélère. Que peuvent-ils bien faire, tous les deux, isolés et torses nus ? Je m’approche encore un peu. Cette fois, très discrètement. J’ai le sentiment qu’il se passe quelque chose que je ne devrais pas voir. Je contourne le fourré, me planque derrière un arbre, et jette un coup d’oeil. Et je ne crois pas ce que je suis en train de voir. Deux scouts de mon âge, torses nus, short baissé sur les chevilles, sont en train de se caresser devant ce qui ressemble à un magazine. Je lâche brusquement mon tas de bois. Je n’en reviens pas. Je n’avais jamais vu ça. Je sais que je devrais partir, où je risque de me faire insulter. Traiter de voyeur, de pédé. Mais je n’y arrive pas. Je reprends mes esprits, et jette à nouveau un coup d’oeil derrière le tronc épais de l’arbre qui me cache. Cette fois-ci, l’image est nette. Les deux garçons sont dos à mois. Le magazine est un catalogue de lingerie. Chacun tient sa bite sans sa main, sans regarder l’autre. hgshxxek Chacun se tient droit debout, presque fier. Chacun manie son membre de haut en bas. Sans hésitation, sans tendresse. Une mécanique sûrement répétée depuis des années. Je reconnais le garçon de gauche. Il est dans une autre patrouille que la mienne. On ne s’est jamais parlé. Il traine avec une bande de grandes gueules, ...
... mais lui reste plutôt discret. La vue de sa peau très blanche et son cul imberbe, des muscles de son bras qui se contractent frénétiquement pour se donner du plaisir, provoque chez moi une réaction physique. Je sens mon short qui se déforme, je sens ma bite qui s’élève par à-coups successifs. Le garçon de droite est un peu plus grand, plus bronzé. Je reconnais qu’il fait partie de la bande de l’autre. Lui, c’est une vraie grande gueule. Toujours à rire et à crier, à défier les chefs, à s’imposer. Le genre de mecs à qui je n’aurais jamais parlé. J’imagine que c’est lui qui a eu l’idée de cette partie de plaisir. Ah oui : il est aussi très musclé. La vue de ces deux corps d’adolescents vigoureux a fait son effet. Je bande comme jamais. Je me retourne pour vérifier que personne ne me regarde. Je sais que je devrais partir. Mais ma bite agit maintenant comme une boussole que je serais obligé de suivre. Je reste derrière mon arbre, et n’en perds pas une miette. On approche de la fin. Les corps se contractent, les têtes tombent en arrière, des gémissements étouffés se font entendre. Je n’en peux plus. Je défais le bouton de mon short, descends la braguette, et le laisse tomber à mes pieds. Ça ne me suffit pas. J’ai besoin de me sentir aussi vulnérable qu’eux. Alors je déboutonne ma chemise, l’enlève maladroitement, et la jette dans la boue. Mon cerveau ne commande plus rien. Je saisis mon membre gonflé avec la main droite, et lui commence à lui procurer le massage ce qu’il attend. ...