1. Mon dernier camp scout (1)


    Datte: 28/08/2021, Catégories: Gay

    ... Je suis instinctivement la cadence des garçons. Ils sont là, à quelques mètres de mois. J’entends leur halètement. Je sens leur transpiration. Leur excitation. Je me l’approprie immédiatement. Je la sens dans tout mon corps. Je sens la sueur perler le long de mon dos. Je m’imagine devant eux, à la place du magazine, à attendre sagement de me faire couvrir de foutre. Je n’en peux plus. Je ne tiens plus debout. Je m’appuie sur l’arbre avec l’autre main, me penche en avant, cambre les fesses. Je n’ai même plus peur d’être surpris dans cette position, pourtant si humiliante. Le plaisir est trop fort. Je suis là, cul nu, cambré, les yeux rivés sur deux garçons en train de se branler devant un catalogue La Redoute. Mes genoux tombent maintenant sur le sol. J’accélère les mouvements de ma main sur ma bite. Je sens que je vais venir. Tout à coup, j’entends l’un des garçons gémir plus fort. Il s’agit de Thomas, celui à la peau très blanche. Il accélère les vas et viens, se raidit, contracte son cul, et laisse soudain jaillir une longue coulée de sperme sur le sol. Puis une deuxième, et une troisième. À la vue de ce spectacle, son pote s’accélère aussi, mais ne vient pas tout ...
    ... de suite. Il pose la main sur l’épaule de son ami, ce qui semble mettre ce dernier très mal à l’aise. Il la retire aussitôt, et envoie en même temps un puissant jet de sperme qui atterrit sur la culotte de la fille du catalogue. Ce qu’ils feront après, je ne le verrai pas. Parce que c’est à mon tour. Je n’y couperai pas. Je n’y échapperai plus. Je cambre encore davantage mes fesses, ferme les yeux, m’appuie de toutes mes forces sur l’arbre, et laisse échapper, dans un râle de plaisir, un puissant jet de sperme qui vient s’écraser sur le tronc boueux de l’arbre. Un autre jet le suit de près. Je ne peux plus rien arrêter. Pris de spasmes, je continue à jouir… Comme le garçon qui s’est retenu plus d’une semaine. Comme le garçon qui vient de voir la scène la plus bandante de sa vie. Comme le garçon qui découvre qu’il veut se faire prendre par des hommes. Je m’écroule enfin par terre, dans la boue, dans un long soupir de soulagement. Je suis aveuglé par le plaisir. Puis la honte. 10 secondes plus tard, je me relève, comme on sort d’un rêve intense. Je suis nu, couvert de boue et de sperme, et à ma droite se trouvent les deux garçons, qui me fixent avec des yeux ronds. Merde… 
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