1. CHAPITRE 7 : Anniversaire


    Datte: 28/08/2021, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... que le moteur est arrêté. Mon sexe se déploie lorsqu’il le sort de sa gangue de tissu, et sa bouche gobe mon gland. Par réflexe, je donne un coup de reins et Sylvain sursaute. Mon sexe est en entier dans sa bouche pour la pre-mière fois. Il s’étouffe, ses dents ripent sur la peau, mais il garde la position. Cela ne me prend qu’une minute pour jouir, l’excitation est trop forte. Je n’ai même pas le temps de le prévenir, et je gicle. Heureusement, Sylvain s’est pré-paré, il avale ce qu’il peut et le reste dégouline sur ma queue et mes couilles. Le bandeau a renforcé mon plaisir, j’ai senti la bouche de Sylvain comme jamais. Je me demande alors ce que cela fera avec son corps nu contre le mien. On s’embrasse, sa bouche pleine de jus. C’est quelque chose que j’adore, et encore plus quand j’ai déjà le sien en bouche. Hélas, il m’empêche de lui faire subir le même traitement. Je sais qu’il en a envie, et sa retenue force mon admiration. Il redémarre, j’ai un sourire éclatant qui se fane légèrement. Je viens de me rendre compte que je le suce rarement. En fait, ça fait un moment que je n’ai pas goûter sa queue, juste son jus après qu’il se soit branlé. Ce comportement m’étonne, car il ne m’a jamais dit qu’il n’aime pas ça. Il faut aussi dire qu’au lit, il est totalement soumis et que quand il me suce, j’oublie facilement de le satis-faire. Il est tellement doué que j’ai un peu honte de passer après lui. J’ai beau être plus âgé que lui, il est bien meilleur que moi quand il s’agit de ...
    ... sexe. Oui, le problème doit se situer là : -Tu aimes quand je te suce ?, lui demandé-je. -Bien sûr, c’est trop bon. Qu’est-ce qui te fais croire le contraire ? -Le fait qu’on ne le fait pas souvent. Tu préfères te branler pour jouir. -Ah ça. D’accord, j’ai peur de jouir trop vite si tu me suces, et ça arrive à chaque fois. Ça ne dure jamais plus d’une minute. -Tu crois que je suis meilleur. J’ai mis combien de temps, là ? Trente se-condes de pur plaisir. Je me fiche de la quantité, c’est la qualité qui compte. Alors, je vais te sucer, mon gars, et pas plus tard que cette nuit. Tu ne touche-ras plus à ma queue sans que j'ai touché la tienne. -D’accord, suce-moi autant que tu veux. -T’es un dieu au lit, bébé. Nous finissons par arriver, pliés de rire. Vu la longueur du trajet, j’estime qu’on a quitté la ville. La portière s’ouvre, il y a une odeur de pin et de sève. L’herbe glisse sous mes pieds, je fais attention et je tiens fermement la main de mon homme. Le printemps est là depuis quelques jours, et le soleil brille de nouveau. La journée a été particulièrement chaude, la soirée est douce. On avance tran-quillement vers une musique entrainante, et le crépitement d’un feu. La fumée âcre atteint mes narines, tout comme l’odeur de viandes grillées. Mon estomac gargouille, j’ai une faim de loup. Sylvain retire mon bandeau et je cligne des yeux. On se trouve sous un chapi-teau brillamment éclairé par des lanternes de couleur. Une banderole est accro-chée au centre, proclamant en ...