1. CHAPITRE 7 : Anniversaire


    Datte: 28/08/2021, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... Sylvain se soulève, il souffle encore plus fort. Ses mains malaxent mes cheveux, il a les jambes en l’air. Mon doigt s’insinue en lui, je l’ouvre délicatement. Ma salive lubrifie son trou comme si j’allais le pénétrer. J’enfonce un deuxième doigt et je remonte ma langue sur sa hampe. Je gobe son gland, ma langue l’entoure, et son sexe s’enfonce dans ma gorge. Je le suce avidement, je veux son jus. Je m’applique à le faire venir le plus vite possible. Mes doigts le sodo-misent, à la même vitesse. Son corps bouge au même rythme. Dans un spasme et un râle profond, le corps tremblant, il gicle abondamment. Je garde son jus en bouche et je le lui donne en l’embrassant. Il saisit ma queue et je gicle dans sa bouche ouverte. On retire nos bandeaux, il pleure : -Pardon, dit-il, c’était trop fort, j’ai eu un orgasme, ça m’étaitjamais arri-vé. Je l’ai cru, mais non. Là, c’était différent. -C’est comme si une boule dans ton ventre se formait, et envoyait partout des ondes de plaisir, et boom, ça explose. Ton corps se détend, tu as chaud et froid en même temps, ton sang circule plus vite. En même temps, tes hormones font leur boulot, tu as tes émotions qui fusent en toi, et enfin, tu gicles et c’est ...
    ... la délivrance. -Oui, c’est ça. Je me sens léger. Quand tu m’as doigté, c’est comme si tu me faisais l’amour. Et mes pieds, bébé, c’était le pied. C’était comment pour toi ? -Pareil, ta peau avait un goût merveilleux, et ton jus trop délicieux. Y avait un autre truc que je voulais faire, ce sera pour plus tard. -Dis-moi. -Je préfère garder la surprise. En plus, j’avoue que j’ai les yeux qui se ferment, je suis vidé. -Moi aussi. Il éteint la lumière et se blottit contre moi. Je passe le bras autour de sa taille, dépose un baiser sur sa gorge, et je m’endors paisiblement. Mes rêves sont peuplés d’images de mes anniversaires passés, tous heureux tant que je vivais avec mes parents. Je respire le parfum des gâteaux de ma mère, et revois les cadeaux que je recevais. Puis, je revis ceux d’après, au foyer. On me le fêtait, mais il manquait toujours quelque chose. Il m’a fallu du temps pour comprendre que c’était l’amour, et je viens de le trouver. C’est pour cela que je me suis tant amusé, ce soir, j’avais quelqu’un avec qui partager tout ça. Juste avant de me ré-veiller, une image plus claire que les autres s’imprime dans mon esprit. Mes pa-rents me sourient et me disent qu’ils sont fiers de moi. 
«12345»