1. Perle Noire


    Datte: 16/11/2017, Catégories: volupté, f, h, fh, fhh, couleurs, profélève, uniforme, grossexe, piscine, gymnastiqu, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation entreseins, facial, Oral

    ... bouteille de whisky qui devait dater des anciens propriétaires, et des glaçons. Dans cette discussion à brûle-pourpoint, elle en apprit davantage sur lui en un quart d’heure que pendant les longs mois où, pourtant, il travaillait pour elle, notant par exemple qu’il n’avait pas de copine attitrée. Et aussi que son français presque châtié venait de ce que ses parents avaient insisté pour qu’il continue d’aller à l’école le plus longtemps possible, surtout qu’il était régulièrement le premier de la classe. Petit détail, l’école dans laquelle il était allé était une mission catholique, ce qui expliquait qu’il ne soit pas en train de trinquer avec elle avec du jus d’orange. Le sujet devint plus épineux quand elle lui expliqua qu’elle avait trouvé un string rose poisseux dans la lingerie. Après avoir passablement tourné autour du pot, il finit par lui avouer qu’il flashait sur les Blanches, bien qu’il n’en ait jamais connues. — Attends, tu ne vas pas me dire que tous les Blacks craquent pour les Blanches ?— Non, pas tous ; mais moi, oui… Et en plus…— En plus ? On ne peut pas dire qu’un Black peut rougir, mais cela y ressemblait quand même énormément. — Vous… vous… vous êtes blonde, alors…— Attends, tu ne va pas me dire que ça aussi, c’est vrai ? Bien conscient que, toute compréhensive que fût sa patronne, il jouait son avenir professionnel – et même son avenir tout court – sur un coup de dés, il ajouta : — Ben, en tout cas, vous me faites craquer, moi… Abasourdie mais en même temps ...
    ... confortée dans ce qu’elle pensait, elle vida son verre d’un trait. — Bon. Alors, écoute-moi bien, Djibo. Personne, je dis bien personne, ni tes amis, ni les collègues, bref, absolument personne ne doit savoir, ni même avoir le moindre début de doute qu’il se pourrait qu’il y ait quelque chose entre nous. Ce serait un coup à perdre notre boulot, et c’est valable pour nous deux. Elle les savait pour le moins chatouilleux sur le sujet, à la compagnie. — Par contre, comment te dire… Une histoire d’amour entre nous deux, ce ne serait pas simple…— Attendez, vous voulez dire que… Ce fut à elle de rougir quelque peu. — Disons que si les blondes te font craquer, c’est ta grosse queue qui me fait cet effet, à moi. Alors, si tu veux… Son regard reflétait une incrédulité sans bornes. Elle décida d’y mettre un terme. — Bon, assez discuté. Tu l’aimes, la lingerie de ta patronne ?— Ben, oui… Elle se leva de sa chaise pour s’asseoir sur le rebord de la table et ouvrit son peignoir. — Dans ce cas, viens donc la lui retirer… et lui montrer ce que tu sais faire. Leurs regards ne se croisèrent qu’un instant ; leurs langues se mêlèrent aussitôt tandis que ses mains à lui s’égaraient sur le corps presque nu de sa patronne qui déjà vibrait sous la caresse. La bouche de Djibo quitta ses lèvres pour descendre quelque peu, déposant des dizaines de doux baisers dans son cou. Puis, continuant sa descente, il arriva entre ses seins ; le temps de s’apercevoir que le soutien-gorge s’ouvrait par une agrafe ...
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