1. Perle Noire


    Datte: 16/11/2017, Catégories: volupté, f, h, fh, fhh, couleurs, profélève, uniforme, grossexe, piscine, gymnastiqu, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation entreseins, facial, Oral

    ... qu’elle lui avait dit au tout début de leur relation, à savoir que « une histoire d’amour serait difficile entre nous ». Le lendemain matin, les soldats attendaient sa voiture de location et les deux lascars étaient déjà au poste de garde. Leurs parents, qui travaillaient, n’avaient pas eu le loisir de leur demander pourquoi ils s’étaient habillés comme s’ils allaient au lycée alors que les cours étaient terminés depuis un bon moment, pour la simple et bonne raison qu’ils ne les avaient pas vus partir. Elle se gara tout près de la salle où elle avait l’habitude de faire cours, et ouvrit la classe. Cela lui faisait un drôle d’effet d’entrer dans cette pièce qu’elle ne voyait totalement vide que pour la deuxième fois. La première, c’était quand, fraîchement débarquée de France, elle était venue la visiter pour savoir où elle allait désormais travailler, et la seconde… c’était maintenant. Elle se mit au bureau, exactement comme si de rien n’était, et fit signe aux deux jeunes d’entrer. En la voyant ainsi dans sa courte jupe bordeaux et son chemisier sable, ses cheveux blonds noués en deux longues couettes, ils ne purent s’empêcher de siffler. — C’était ça que vous vouliez ? J’espère que ça vous plaît… Ils n’osèrent pas répondre. — Bon ; eh bien, vous allez noter ce que je vous dicte… Même s’ils faisaient semblant d’écrire et elle de dicter, ils avaient bien autre chose à faire. Cela faisait déjà une dizaine de fois que, montée sur l’estrade et donc en surplomb d’eux, elle ...
    ... laissait tomber quelque chose, son crayon, sa feuille, sa trousse, et se baissait pour le ramasser en prenant bien garde à chaque fois de ne pas plier les genoux, laissant sa jupette remonter très haut sur son cul dans un spectacle hautement impudique. Les deux jeunes n’en perdaient pas une miette ; mais malgré cela, aucun d’eux n’avait encore la moindre idée de la couleur de sa culotte. Lorsque, dictant toujours, elle s’assit sur le rebord de l’estrade et qu’elle posa – les jambes écartées – son pied sur le rebord, ils virent enfin apparaître un superbe string fuchsia en dentelle ajourée, qui laissait entrevoir par transparence sa petite touffe blonde. En l’espace d’un instant, la place disponible dans leurs caleçons dut se réduire considérablement. Consciente de l’effet qu’elle leur faisait, elle se rapprocha d’eux. — Bon, alors, où en êtes-vous ? Tournant le dos à l’un, elle se pencha sur le pseudo-travail de l’autre. — Cette cravate me serre… Puis-je la retirer ? La façon dont elle venait de prononcer ces mots en disait plus que tout. Face à eux, elle défit lentement le nœud, plaça la cravate qu’elle venait d’enlever dans la poche de la chemise d’un des deux garçons, puis défit un à un les boutons de son chemisier jusqu’à la naissance de ses seins que l’on aurait pu penser libres sous l’étoffe. Cambrant exagérément ses reins, elle se pencha de nouveau près des garçons. Pour eux, le tableau était idyllique : pour l’un, une vue imprenable sur un soutien-gorge pigeonnant mettant ...
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