Perle Noire
Datte: 16/11/2017,
Catégories:
volupté,
f,
h,
fh,
fhh,
couleurs,
profélève,
uniforme,
grossexe,
piscine,
gymnastiqu,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
entreseins,
facial,
Oral
... deux-là. — Alors, décrochez-moi ce bac, et je vous promets de passer une journée avec vous et de vous montrer bien plus que vous n’osez imaginer. Si on leur avait dit que l’ambassadeur des Martiens venait de débarquer sur Terre et demandait à leur parler personnellement, ils auraient été sans doute moins surpris. Elle décida d’enfoncer un peu plus le clou. — Et si vous ne me croyez pas, regardez… Profitant de ce qu’elle était toujours assise derrière son bureau, elle glissa ses mains sous sa jupe tout en prenant bien garde de ne pas trop la remonter, et attrapa l’élastique de sa culotte. Quelques secondes plus tard, le minuscule triangle de dentelle blanche était sur le bureau, et ces deux zouaves se demandaient s’ils ne rêvaient pas. Pourtant, à aucun instant, ils n’avaient eu l’occasion de découvrir la moindre parcelle de l’intimité d’Estelle. — Vous pouvez la prendre : elle est pour vous, poursuivit-elle d’un ton enjôleur. Son sourire s’effaça soudain tandis qu’elle les fixait de tout l’éclat de ses yeux gris. — Cela dit, amusez-vous à raconter votre bonne fortune à qui que ce soit et je vous assure que vous ne trouverez plus jamais une place dans un lycée francophone de la planète. C’est compris ?— Absolument. Ils disparurent aussi vite que l’éclair, non sans avoir raflé la précieuse culotte qui était restée sur le bureau. Tandis qu’elle remontait dans le Hummer pour regagner son domicile, elle souriait intérieurement. Il restait à peine trois mois avant le bac, et ces ...
... deux-là avaient un tel niveau à remonter que jamais elle n’aurait besoin de tenir sa promesse. Par contre, son petit doigt lui disait qu’elle aurait désormais une paix royale pendant ses cours. — Djibo ! Djibo ! Où es-tu ? L’une des choses qui l’avait le plus surprise lorsqu’elle était arrivée, c’était qu’en plus de l’immense maison, la compagnie lui fournissait pour l’entretien de celle-ci un « aide de camp », une façon plus élégante de nommer ce que l’on appelait autrefois un boy. Celui-ci, Djibo, était arrivé en cours d’année, en remplacement de Michel, un vieil homme aux cheveux très blancs qui devait partir en retraite. Elle avait cherché à comprendre pourquoi il pleurait en la quittant : elle avait découvert que s’il partait bien en retraite, il n’avait pas pour autant de retraite dans le sens où personne ne lui verserait aucun revenu. Elle s’était renseignée, et en même temps qu’elle découvrait son vrai prénom, Mustapha, elle avait manqué de s’étrangler en voyant le chiffre qui était en bas de sa fiche de paye. On lui avait rétorqué que c’était à lui de cotiser pour sa retraite, que rien n’était obligatoire dans ce pays. Ah, les bienfaits du libéralisme… En attendant, devant la détresse du vieil homme, elle s’était engagée auprès de lui à lui verser de sa poche et aussi longtemps qu’elle le pourrait le salaire qu’il touchait lorsqu’il était à son service. Et tous les mois, elle ne voyait qu’un peu plus de soixante-dix euros disparaître de son compte bancaire… Djibo était ...