1. Perle Noire


    Datte: 16/11/2017, Catégories: volupté, f, h, fh, fhh, couleurs, profélève, uniforme, grossexe, piscine, gymnastiqu, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation entreseins, facial, Oral

    ... lui aussi un autochtone ; mais physiquement, c’était tout le contraire de Mustapha : vingt-cinq ans, grand, athlétique, ses longs cheveux en dreadlocks tombaient sur ses épaules, ses yeux noirs pétillaient d’intelligence et son éternelle bonne humeur le rendait assez craquant. Détail relativement surprenant en ces lieux : il s’exprimait toujours dans un français impeccable, assez loin du « petit nègre » qu’on lui servait assez souvent. — Oui, patronne ? Il venait probablement d’arroser les massifs de fleurs de la pelouse : son tee-shirt blanc lui collait au torse, trempé d’eau et de sueur, mettant en valeur sa musculature saillante. Elle sourit : cela faisait un nombre incalculable de fois qu’elle lui demandait de l’appeler Estelle, mais il en revenait toujours à « Patronne ». — Finis ce que tu es en train de faire ; après, tu pourras t’en aller.— Mais le dîner n’est pas prêt…— Ne t’inquiète pas ; je me ferai à manger moi-même. Moi, je vais piquer une tête. À demain. Dans cet état « démocratique » où les candidats à la présidence qui auraient eu un peu trop tendance à vouloir s’en prendre aux multinationales – qui saignaient pourtant le pays – se retrouvaient régulièrement accusés de toutes les turpitudes et jetés en prison, quand on ne retrouvait pas purement et simplement leur corps séché au soleil ou à moitié dévoré par les vautours, le social n’était pas vraiment la priorité. Et Djibo n’en revenait toujours pas de cette « patronne » qui le considérait comme on ...
    ... considère un ouvrier en France, c’est à dire pas tout à fait comme taillable et corvéable à merci, allant jusqu’à lui donner un jour de congé par semaine alors que rien ne l’y obligeait. En attendant, il la vit sortir sur la margelle, vêtue d’un minuscule deux-pièces rouge vif. Qu’elle était belle ! Ses longs cheveux d’un blond très clair libérés de ce satané chignon tombaient jusque sur ses hanches, sa peau satinée et dorée par le soleil un peu moins brûlant à cette heure de la journée semblait appeler les caresses, cette poitrine haute et ferme qui semblait avoir bien du mal à tenir toute entière dans ce haut de maillot ; et puis ces fesses, ces fesses… Elle se retourna et l’aperçut derrière les bougainvillées. Ses yeux gris, ce petit air mutin et ses dents semblables à des perles, cette fille était un rêve. Il lui sembla même que le tissu du maillot moulait quelque peu les lèvres de sa chatte… C’en était trop : son sexe, tendu à se rompre dans son pantalon de toile, lui faisait mal. Il ferma l’eau, rangea le tuyau puis, après s’être assuré que sa « patronne » barbotait bien, il rentra dans la maison et fila dans la salle de bain. Il y trouva très vite ce qu’il cherchait, à savoir un string rose pâle d’Estelle, encore tout empli de son parfum intime de la veille. Il porta à son nez le minuscule triangle de dentelle ; le parfum des Blanches l’avait toujours rendu fou sans qu’il n’en ait jamais véritablement connues. Et là, en plus, une blonde ; peut-être même d’ailleurs une vraie ...
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