1. Un voyage à Marseille qui n'est pas une galéjade


    Datte: 29/08/2021, Catégories: fh, inconnu, hotel, voyage, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, journal, occasion,

    ... ainsi d’apprécier au passage la Bonne Mère, l’abbaye Saint-Victor, la mairie, … la totale, quoi ! Arrivés aux Catalans, le patron avait eu la bonne idée de nous réserver une table à la fenêtre, avec une vue imprenable sur la Méditerranée et les mouvements des bateaux. Catherine était fascinée, ébahie : — On m’a dit tant de mal de Marseille, à tel point que j’ai failli décliner l’invitation. Et vous me faites découvrir une ville superbe.— Il faut toujours se méfier des idées reçues et faire confiance aux gens qui connaissent. Ainsi, je puis vous assurer que vous allez déguster ici une bouillabaisse comme vous n’en dégusterez jamais de meilleure ailleurs. De fait, la pêche du jour avait été excellente. Et j’avais commandé un petit bandol de derrière les fagots, qui rendait ce moment encore plus délicieux. Soudain, je vis Catherine s’inquiéter : — Y a-t-il quelque chose que ne va pas ?— Non, simplement, je viens de m’apercevoir que, lorsque je suis allé m’installer sur le balcon de votre chambre, j’ai coupé mes deux téléphones portables et j’ai oublié de les reconnecter. On m’a certainement rappelé pour ma chambre…— Mais c’est un très bon signe du destin. Inconsciemment, vous avez voulu vous laisser vivre. Moi aussi, j’ai déconnecté mon portable, anticipant ce moment merveilleux que nous vivons tous les deux. Si vous le voulez bien, laissons nos portables en paix. Catherine ne se fit guère prier. Le dessert maison, l’omelette norvégienne flambée, arrosée d’un calva ...
    ... millésimé, déconnecta Catherine définitivement de sa vie professionnelle. Elle me raconta longuement sa déception amoureuse et me jura qu’elle ne pardonnerait jamais ce que lui avait fait subir son mari. Comme elle ne cessait d’admirer le paysage, je lui proposai de rentrer à pied à l’hôtel, en longeant la mer. Nous rentrâmes bras dessus bras dessous, ne marchant pas toujours très droit, non pas sous l’effet du mistral qui s’était levé, mais de notre consommation d’alcool un peu excessive. Comme Catherine manquait de tomber, je la retins par la taille à hauteur du Vallon des Auffes. Elle en profita pour se serrer très fort contre moi et m’embrasser avec une vigueur dont je ne me serais guère douté. Nous sommes ainsi restés enlacés de longues minutes, ignorant les coups de klaxon des automobilistes de passage. Un taxi vide nous permit de rejoindre l’hôtel plus rapidement et, tout naturellement, nous rejoignîmes ma chambre. À peine entrés dans la chambre, Catherine me bascula sur le lit et entreprit de me déshabiller avec beaucoup d’agilité : — Il faut réparer une injustice. Vous m’avez vue toute nue. À moi de vous découvrir. Laissez-vous donc faire. Mes mocassins valsèrent à l’autre bout de la chambre. Puis les chaussettes, le pantalon. J’essayai vainement de déshabiller Catherine. Mais elle avait pris la direction des opérations et ne me laissait aucune possibilité d’agir. Les boutons de ma chemise furent enlevés avec dextérité et je me retrouvais en caleçon. Catherine, qui s’était ...