1. Pris dans la tempête


    Datte: 29/08/2021, Catégories: Anal

    ... tout danger de chavirement est passé pour l’instant.Je passe à l’infirmerie pour avoir des nouvelles des blessés. A ma grande surprise, John y est seul. Il m’explique que les hommes ont été soignés et pansés, et que comme désormais il ne leur fallait plus que du repos, il les a installés dans leurs hamacs respectifs. « Mais le capitaine devrait aussi subir un examen médical rigoureux, pour exclure tout risque » me dit-il d’un air entendu. Je m’allonge sur la couchette. John se penche sur moi et enlève peu à peu les différentes couches de vêtements qui dissimulent mes formes. Il soupèse ma poitrine, prend mes seins en main et en titille le mamelon de l’ongle de ses pouces. Je gémis et me tortille un peu sur la banquette. « Réaction normale. Je pense qu’on peut affirmer que nul dommage n’a été causé ici. Cependant, j’aimerais vérifier vos réflexes, capitaine… » dit-il, tendit qu’il pince brutalement mes tétons entre son pouce et son index. Je me cambre et laisse échapper un petit cri. Il me fait mal… mais je sens la chaleur monter en moi. John installe des pinces chirurgicales sur mes mamelons, pour conserver la pression sur eux tout en libérant ses mains. Le poids de ces pinces et leur contrainte donne une couleur violacée à mes tétines et les allonge. Les mains du médecin continuent leur exploration et délient ma ceinture. Il fait plier mes genoux et écarte mes cuisses, s’offrant ainsi une vue imprenable sur mon intimité. « Je dois éliminer toute suspicion de lésion interne, ...
    ... évidemment » dit John en farfouillant dans ses tiroirs. Il en sort bientôt un spéculum. Je m’étonne de sa présence ici : s’attendait-il à suivre des femmes enceintes sur ce navire uniquement peuplé d’hommes ? Il me répond qu’il faut pouvoir parer à toute éventualité… et insère l’instrument entre mes cuisses. Le métal est froid, et n’étant pas lubrifié, accroche aux parois. John le fait glisser lentement, faisant courir ses doigts sur mon clitoris et mes lèvres au passage. Le cheminement est rendu plus facile par mon excitation, qui monte de plus en plus sous ses soins. Quand John décide qu’il est correctement mis en place, il l’écarte petit à petit, pour élargir ma cavité, ses yeux rivés sur l’instrument, son visage me tout proche ; je sens sa respiration, et le frôlement de ses joues mal rasées sur mes cuisses. Il glisse un doigt à l’intérieur de l’objet, et caresse mes parois. Je ne peux m’empêcher de gémir à ce contact. De son pouce, il frotte de façon circulaire et appuyée la surface rugueuse à l’entrée de mon vagin ; la sensation est très forte, j’écarte les jambes au maximum pour en profiter pleinement. John soulève alors mon bassin en ouvrant mes fesses de ses mains, et me pénètre par l’arrière, le spéculum toujours en place. Il me fait venir d’avant en arrière sur sa bite, il doit sentir la présence de l’instrument dans mon autre trou. Il ne le lâche pas des yeux, et ce regard appuyé décuple mon excitation : je jouis, dans un silence contraint, et il ne tarde pas à se ...