Elle et Elle (6)
Datte: 29/08/2021,
Catégories:
Lesbienne
... dans mes tripes. « Oui... Baise-moi avec la langue... » lui dis-je. « Je suis si bien avec toi... Est-ce que je peux te dire des mots obscènes, mon amour ? » Son sourire de coyote tint lieu d’autorisation. Les choses que j’avais envie de lui dire, les choses que j’avais envie de lui faire, ne pouvaient pas être exprimées en des termes convenables : « Tu es une cochonne Laetitia... Baise-moi, petite pute... Bouffe-moi la chatte... » Le tout premier contact de ses lèvres sur ma chatte envoya des étincelles dans tout mon corps. En l’espace de quelques secondes, entre mes jambes, ma bien-aimée fit de moi ce qu’elle voulait. Mes respirations se transformèrent en halètements de plaisir. Elle massa l’intérieur de mon sexe avec sa langue, et pour la première fois, elle goûta le nectar d’amour d’une autre femme. Elle buvait ce qui sortait de mon sexe. Sa salive se mélangeait à mes sécrétions visqueuses, dont elle s’abreuvait avec gourmandise. La langue de Laetitia devint plus agressive, planant de mon clitoris jusqu’aux plus intimes méandres de mon vagin. Elle s’arrêta autour de ma petite bille de chair pour la régaler de baisers et de milliers de lapements frénétiques qui m’arrachèrent des larmes de bonheur. Elle était à la fois douce et droite, léchant, suçant, caressant, tournoyant autour de mon clitoris. Je ressentais les plus incroyables des sensations. Ses doigts maintenaient mes lèvres largement ouvertes. « Jouis bébé, jouis petite chienne... » me dit-elle en reprenant son ...
... souffle. La langue amoureuse de Laetitia partit en campagne dans une dernière offensive autour de ma délicieuse framboise. J’écartai les jambes aussi largement que possible, poussant mes hanches contre son visage pour qu’elle s’enfonce de plus en plus profondément en moi. « Oh Laetitia... C’est trop bon... » J’aimais sentir sa langue qui me baisait, m’écartelait mieux qu’un sexe d’homme. Je ressentis des convulsions de plus en plus fortes qui m’anéantissaient. Folle de joie, je croisai le regard de Laetitia et je lui souris avant de lâcher prise. Terrassée par ce nouvel orgasme qui semblait imminent, je m’arquai contre le matelas, le dos cambré, et la tête en arrière. Mes jambes s’écartèrent encore, pour laisser la femme que j’aimais me lécher le sexe. La langue et les lèvres de Laetitia allaient de plus en plus loin dans mon trou, dures comme des instruments chirurgicaux. Le plaisir atteignait des proportions presque insupportables. J’étais fiévreuse de désir, je voulais de plus en plus sentir sa langue en moi. Elle me rendait folle. Je n’avais jamais été si chaude, si offerte si excitée de toute ma vie. Je sentais l’orgasme monter en moi comme un volcan prêt à l’éruption. Mes ongles se plantèrent dans le lit sans pitié. Je haletais comme une chienne. Comme sa chienne. A cet instant, je savais que je lui appartenais toute entière. Je criai, je gémis, aveuglée par des flashs lumineux et au bord de l’évanouissement, je retins mon souffle... et je jouis. Une fois. Deux fois. Et ...