Une étrange rencontre
Datte: 29/08/2021,
Catégories:
fh,
inconnu,
Oral
pénétratio,
fantastiqu,
ecriv_f,
... pierre tombale, les yeux dans le ciel étoilé, le souffle court, le cœur battant la chamade, mais encore emplie de désir, du désir d’être sienne. Je m’appuyai sur les coudes pour me redresser et le regarder. Il était toujours à genou entre mes jambes, mais nu maintenant. Son corps blanc me semblait être presque translucide, d’une beauté irréelle. Ses cheveux couvraient ses épaules et le haut de son torse imberbe. Tout en lui n’était que finesse, et pourtant il dégageait une telle force, une telle puissance ! Son membre, énorme et raide, me fascinait encore plus, mais il ne me laissa pas le loisir de le contempler plus longuement : il me fit me allonger d’une douce pression des mains sur mes épaules et vint se coucher sur moi. Je le sentis commencer à me pénétrer doucement. Il s’immisçait peu à peu en moi. Oh, comme j’aimais ce premier contact avec le pieu palpitant du sang dont je lui avais fait don un instant auparavant ! Il se mit à osciller doucement en moi, d’avant en arrière, lentement. Je cambrais les reins pour l’accompagner dans cette cadence, mais en ayant soin de le suivre et non de le devancer.En même temps, je caressais son visage, ses épaules, son torse puis son dos et descendais encore plus bas vers ses fesses. Il se mit alors à accélérer la cadence, d’abord imperceptiblement, puis de plus en plus, jusqu’à m’asséner de vrais coups de boutoir. Plus il devenait violent dans ses va-et-vient, plus je me cambrais pour qu’il aille plus profond encore. Cette fois-ci, ...
... quand il sentit que j’allais jouir, il ne s’arrêta pas mais intensifia encore le rythme. Mon premier orgasme fut cosmique, j’enfonçai mes ongles dans la chair de son dos et ne pus encore une fois retenir mes cris. Je laissai le plaisir m’envahir, me parcourir jusqu’au point de non-retour, jusqu’à ce qu’il redescende aussi lentement qu’il était monté, laissant place à un désir encore plus puissant que le précédent. Il m’attrapa par les épaules et nous fit rouler l’un sur l’autre, de manière à ce que je me retrouve au-dessus de lui. Son pénis était toujours en moi et peut-être encore plus dur. Mais, maintenant, c’était moi qui dirigeais, qui le soumettais à mon bon vouloir. Les rôles étaient inversés. Je n’étais plus moi, je devenais Lilith revenue du pays de Nod pour récolter la semence de ce seigneur de la nuit. J’étais la reine des succubes venue lui rendre le plaisir qu’il venait de me donner, le transporter, au-delà de toutes limites, dans un monde où il n’existait plus que le vice et la luxure. Je le chevauchais tel un sauvage étalon dressé à mon bon vouloir. Je l’enserrais entre mes cuisses, son pieu me transperçant un peu plus profondément à chaque coup de reins que je donnais. Nous n’étions plus que quête du plaisir extrême, je le ramenais une deuxième fois dans le monde des vivants. Notre union ne devait plus s’arrêter. Nos deux corps baignés de sueur ne faisaient plus qu’un. Nous étions en train de nous lier éternellement l’un à l’autre. Je ne voulais plus que cela ...