1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1137)


    Datte: 29/08/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... continuait à s’enfoncer, entièrement. Une fois profondément en moi, le Châtelain attrapa ma natte et tira ma tête en arrière pour me susurrer à l’oreille : - Tu n’as pas intérêt à gémir, tu n’es que Mon esclave, alors subit en silence. Il se redressa et commença des vas et viens, quelques-uns lents, mais il augmenta vite la cadence. Il tenait toujours ma natte pour me faire relever la tête en arrière et je me cambrai du mieux que je pouvais en mordillant ma lèvre inférieure pour ne pas gémir. De sa main libre, il s’amusa à me laisser des traces rouges sur mon cul en me fessant. Il m’enculait fortement si bien que j’avais du mal à rester silencieuse. J’avais les larmes aux yeux, les mâchoires serrées, mon cul me brulait légèrement mais j’étais excitée plus que jamais et cela irradiait en une forte chaleur dans mon bas-ventre. Je commençais à prendre vraiment du plaisir, et cela me troublait profondément et faisait défaillir mes sens que cela se fasse par le cul, chose que je n’avais osé penser avant. Le Maître devait le voir car il me dit : - Tu aimes, chienne ? Retiens-toi de jouir, tu n’as le droit qu’après Moi. Il m’encula un long moment sans ménagement. Mon plaisir montait de plus en plus si bien que je fis tous les efforts possibles pour retarder ma jouissance. Sa verge si raide, si gonflée, longue et épaisse me pénétra donc profondément le cul, par des vas et viens cadencés d’abord, jusqu’à la garde, entre mes reins, profonds mais en des mouvements alternant cette ...
    ... cadence rapide puis ensuite plus amples et lents presque lancinants pour de nouveau être rapides, je sentais qu’il voulait prendre un maximum de plaisir dans mon cul en multipliant les sensations selon le rythme qu’il décidait en alternance. Puis au bout d’un moment, il garda toujours la même allure, la même cadence, je le sentais me ramoner, me remplir en me procurant des plaisirs jamais jusqu’ici égalés. Cette sodomie devenait sauvage, animale mais j’en mouillais terriblement ! Plaisir physique, mais pas seulement, mon cerveau bouillonnait. Je me faisais enculer, tel un simple objet, une sodomie profonde, rapide comme ça, pour son plaisir, une pénétration sans jouissance avant la sienne, mon cul s’échauffait et ça m’excitait encore plus… Je me cramponnais. Je mis mes bras tendus sur le devant et ils ne fléchissaient pas ainsi et je me laissais porter et empaler en écoutant à côté les râles de plus en plus pressants de Monsieur le Marquis. Sans doute allait-il ne pas tarder à jouir ?… Apparemment pas encore car je me faisais toujours prendre par le cul avec vigueur, bestialement. J’aimais ça, j’aimais cette animalité, je me laissais aller à mes sensations, je me laissais démonter sauvagement car je l’avoue avec cette bite dans mes entrailles, je n’étais plus qu’un trou à plaisirs, à bourrer, à jouir. J’aimais sentir ses couilles taper contre mes fesses, j’aimais cette sauvagerie, cette saillie animale et je voulais ce membre tendus encore plus profondément si cela pouvait être ...
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