1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1137)


    Datte: 29/08/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... possible, mais je sentais bien qu’il était au maximum de la profondeur de la pénétration car la base de sa hampe cognait contre l’entrée de mon anus en même temps que ses couilles. Je me laissais ainsi buriner, besogner en ayant cette impression que tant de zones de mon corps dont je n’avais même pas conscience se réveillaient excitées par des spasmes qui remontaient sur toute mon échine dorsale. Lorsque enfin le Maître jouissait en moi, il inonda mon trou anal, je sentais sa semence chaude glisser dans mes entrailles grandes ouvertes…je ne pus me retenir plus et je jouis de concert, mes muscles se contractant sous les vagues de plaisir, comme si mon corps était pris de petites convulsions qui se multipliaient en d’autres spasmes de plaisirs jouissifs. Après avoir jouit, le Maître me tira par la natte et me fit descendre pour me mettre à genoux devant lui. Il me présenta son sexe et je le léchai pour le nettoyer comme une bonne petite chienne. Je ne pensais pas la moindre seconde à me rebeller, après ce moment intense, j’étais juste fatiguée, mais détendue. J’avais envie de prendre soin du Maître et de mener à bien tous ce qu’il me dirait. Fatiguée après un tel orgasme, je suivis le Maitre doucement, les membres en coton. Nous nous enfonçâmes dans le Château pour atteindre la chambre de Monsieur le Marquis. Un fois entrée, le Noble me regarda. - Tu dormiras sur le tapis à côté de la cheminée cette nuit, dit-il un sourire aux lèvres. Je regardais l’endroit qu’Il me désignait. ...
    ... Le tapis avait l’air doux. Malgré le repos de la journée, j’avais besoin de dormir. Je me retournais vers le Maitre, il déposa un baiser sur chacune de ses chaussures, puis il me dirigea vers l’endroit sans me faire prier. Je m’agenouillais, regardant le Châtelain se dévêtir pour aller se coucher. - Allonge toi ma petite chienne, tu as besoin de repos, me dit-il. - Bonne nuit Maitre, disais-je en baissant la tête par humilité et en signe de soumission Je m’allongeais sur le côté, face à la cheminée, un bras sous ma tête. Du bout des doigts, je caressais le tapis, les yeux à demi clos. Je sentis le Maitre déposer doucement une couverture fine sur mon corps tandis que je sombrais dans le sommeil... Le lendemain, j’ouvris les yeux. Les rayons du soleil perçaient à travers le beau rideau bordeaux de soie. Doucement, je me relevais et tournais la tête en direction du lit. Monsieur Le Marquis dormait encore. Je ne savais que faire. Je me mis à genoux la tête baissée, les mains derrière le dos et tournée vers le lit pour attendre, mieux valait de rester en place plutôt que de vagabonder dans les couloirs, ce qui je suppose, n’était pas autorisé sans un ordre donné. Mes pensées dérivaient dans l’attente. J’étais étonnée de ne pas avoir de courbatures, ayant dormi sur le sol, et je me sentais parfaitement reposée. Je repensais également à la veille. Tout avait été si vite, mais cela ne me gênait pas, si fort, si intense en émotions et plaisirs, cela m’enchantait et me rappelait là où ...
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