1. Retrouvailles


    Datte: 16/11/2017, Catégories: fh, fhh, couple, cadeau, grossexe, sexshop, amour, Oral fdanus, jouet, conte, policier, québec,

    ... sécurité vint à notre rencontre. Ce n’était pas le même homme que la veille. Celui-ci était plus grand et costaud, quoique, d’un certain âge. — Bon matin, Patrick, dit-il d’un ton joyeux.— Bonjour Albert ! répondit mon amoureux. Laissez-moi vous présenter ma future fiancée, Jessie.— Bonjour, dis-je timidement.— Elle est très jolie. Prends soin d’elle et elle te le rendra au centuple, dit Albert en me prenant la main, sur laquelle il déposa un doux baiser.— C’est promis, Albert. Bonne journée ! Albert nous salua d’un signe de tête avant de retourner à son poste. Quant à nous, nous montâmes dans la voiture et sortîmes du garage. Patrick alluma la radio et, à ma grande surprise, je reconnus les premières notes de Just give me a reason de Pink. Je m’emparai de la main de Patrick et la serrai. Il me sourit tendrement avant de reporter son attention sur la rue. Nous arrivâmes au bureau en quelques minutes. Une fois dans le bâtiment, la secrétaire que j’avais vue la veille vint lui donner ses messages. — Une des candidates qui est venue passer les entrevues d’hier est ici pour vous voir. Elle est dans la salle d’attente. J’ai insisté pour lui dire que vous aviez déjà trouvé, cependant, elle insiste.— Je m’en occupe. Merci beaucoup. La secrétaire hocha la tête et retourna à son bureau. Nous passâmes devant la salle d’attente et nous reconnûmes la femme qui nous avait menacés la veille. — Mademoiselle, dit Patrick d’un ton sec et autoritaire. Votre présence n’est plus requise ici ! ...
    ... Si vous refusez de partir, je vais devoir appeler les autorités.— Je veux passer cette entrevue ! s’obstina la fille. C’est injuste de lui avoir donné le poste sans nous avoir tous vus ! C’est de la discrimination, du favoritisme !— Ça suffit ! hurla Patrick. Je vous le répète mademoiselle, veuillez quitter cet immeuble, et ne plus jamais y remettre les pieds. Poussant un hurlement de rage, elle se jeta sur moi, me pressant violemment au sol. Elle me frappa au visage à plusieurs reprises, et me tira les cheveux. — Salope ! C’était pour moi ce job ! T’avais pas le droit ! Patrick la souleva comme si elle ne pesait pas plus qu’une plume et l’éloigna de moi. Mon nez saignait abondamment et ma lèvre était fendue. — Vous êtes devenue folle ou quoi ? cria Patrick à la fille. La sécurité arriva, avec sur leurs talons, la secrétaire. — J’ai entendu du grabuge, dit-elle pour se justifier. J’ai préféré appeler la sécurité.— Appelez la police, nous allons porter plainte pour voie de fait. Vous apporterez aussi de la glace, s’il vous plaît. La secrétaire s’éloigna en silence. Les gardiens de sécurité avaient à peine esquissé un geste vers celle qui m’avait agressée qu’elle fit volte-face et se mit à courir. Les gardes restèrent figés quelques secondes, puis partirent à sa poursuite, mais revinrent quelques minutes plus tard, bredouilles. Quant à moi, Patrick m’aida à me relever et appliqua la glace que sa secrétaire avait enveloppée dans un mouchoir de tissu. — Tu vas probablement avoir ...
«12...111213...28»