Retrouvailles
Datte: 16/11/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
couple,
cadeau,
grossexe,
sexshop,
amour,
Oral
fdanus,
jouet,
conte,
policier,
québec,
... un dernier regard rassurant aux deux hommes qui m’accompagnaient. — Je vais appeler le poste, dit le policier. Qu’ils envoient des hommes. Qu’ils restent à l’entrée de la chambre en permanence. Il prit son portable et quitta la pièce. Patrick me prit la main et posa un baiser sur le bout de mes doigts. — Mon amour, je suis tellement désolé…— Non je vais bien, dis-je d’une voix pâteuse pour le rassurer. J’ai eu de la chance que tu interviennes à temps.— Donne-moi ton adresse. Je vais envoyer des hommes chercher le reste de tes affaires. Tu vas venir t’installer chez moi. Je ne veux plus te laisser seule à partir de maintenant. Je lui communiquai mon adresse, puis il s’éloigna pour téléphoner, restant néanmoins dans la pièce. — Envoyez une équipe de déménageurs. Entreposez les meubles et livrez les effets personnels à mon appartement. Demandez au gardien de sécurité du garage, il vous ouvrira. Que ce soit fait avant ce soir. Je vous envoie l’adresse par texto. Merci. Il raccrocha, communiqua mon adresse, puis la sienne, et revint vers moi. Le policier, de retour dans la pièce, vint vers moi et me dit : — Deux hommes viennent monter la garde. Un restera dans la pièce avec toi, et l’autre restera cantonné à la porte de ta chambre. J’ai demandé à ce que tu aies une chambre privée. Des médecins viennent te transférer aux soins intensifs jusqu’à ce soir. Tu y seras placée sous le nom de jeune fille de ma mère. Les autres policiers arrivèrent au bout de quelques minutes, accompagnés ...
... par des brancardiers qui vinrent pousser mon lit jusqu’à l’ascenseur. Je me laissai guider, me contentant de regarder passer les néons du plafond. Une fois rendus à ma chambre, on me coucha dans mon nouveau lit et on me borda. — Monsieur l’agent, dis-je d’une voix faible. Il se pencha sur moi et attendit la suite. — Quel est le nom de jeune fille de votre mère ? Le policier sourit et répondit : — Sawyer.— Merci beaucoup Sawyer, dis-je avant de sombrer dans un sommeil médicamenteux. Sawyer s’adressa à Patrick : — Si vous le permettez, je vais rentrer chez moi, prendre une douche. Je suis de service depuis hier après-midi. J’aimerais revenir ensuite.— Bien sûr, je vous en prie, répondit Patrick. Prenez votre temps. Merci pour tout. Je n’aurais jamais cru être aussi content de me faire arrêter pour excès de vitesse. Les deux hommes éclatèrent de rire, ce qui me fit gémir dans mon sommeil. Les deux hommes se firent signe de la main et Sawyer quitta la pièce. Patrick, quant à lui, se contenta de me tenir la main, tout en chantant des chants créoles de sa voix douce et apaisante. Le docteur Laramée revint au bout d’une heure et me réveilla. Il me demanda mon nom, la date d’aujourd’hui et mon adresse. Je répondis d’une voix endormie, avant de sombrer de nouveau. Sawyer revint deux heures plus tard, habillé en civil. Il portait un costume gris avec une chemise bleue, son veston était ouvert et on pouvait distinguer les étuis de ses armes. — Comment elle va ? demanda-t-il à Patrick.— ...