Retrouvailles
Datte: 16/11/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
couple,
cadeau,
grossexe,
sexshop,
amour,
Oral
fdanus,
jouet,
conte,
policier,
québec,
... front, ce qui m’apaisa aussitôt et me fit sourire rêveusement. — Vous vous êtes connus comment tous les deux ? demanda Sawyer à Patrick.— Dans une bibliothèque municipale. Elle était réticente au début, je l’avoue. On est allés boire un verre, et je l’ai raccompagnée chez elle. Elle avait un copain dans ce temps-là, et elle n’avait jamais été infidèle. J’y suis retourné tôt le lendemain matin. Elle m’a ouvert et une fois entré, on s’est regardés et embrassés. Elle tremblait comme une feuille. On a fait l’amour ce matin-là et puis nous nous sommes revus tous les matins. Elle n’a malheureusement connu que mon prénom.— Votre relation a duré combien de temps ?— Pas assez longtemps, intervins-je d’une voix endormie. Patrick sourit et me prit la main. — Tu devrais dormir mon amour, me dit-il.— J’ai dormi toute la journée. Maintenant, j’ai un peu faim. Sawyer m’aida à m’asseoir et se dirigea vers la cuisine. — Qu’est-ce que tu aimerais manger ? me demanda-t-il.— Quelque chose de simple.— Une bonne crème de poulet avec du pain ?— Oui, s’il vous plaît. À ma grande surprise, une fois la soupe dans le chaudron, il le déposa sur les braises. — La maison n’a pas été réapprovisionnée en gaz depuis sept ans. Vous devrez cuisiner de cette manière.— Aucun problème, dit Patrick. La soupe fut bientôt prête et Sawyer nous servit trois bols, que nous dégustâmes avec une tranche de pain et un bout de fromage. Le reste de la nuit fut consacré à discuter, jouer aux échecs et à somnoler. Le ...
... lendemain matin, Sawyer nous tira du sommeil très tôt. Nous nous dirigeâmes vers l’arrière de la maison où se trouvait une forêt qui descendait en pente raide. Nous descendîmes un escalier de bois, jusqu’à un lac. Un quai ballottait devant nous, au gré des vagues. Les cannes à pêche nous y attendaient déjà, ainsi qu’une boîte de vers de terre. Nous pêchâmes tout l’avant-midi, profitant de la quiétude du lac. Nous attrapâmes dix poissons en tout. Sawyer s’occupa de les nettoyer et nous en fit cuire chacun un pour le dîner. Le portable de Patrick sonna et il répondit : — Allô ? Expliquez-lui que je ne peux pas faire autrement… Avec ce qui est arrivé, je ne veux pas la laisser seule… Oui je sais, il ne faudrait pas qu’ils aillent voir une autre compagnie, ce sont nos plus gros clients. Bon, bon OK. C’est d’accord. Arrange un rendez-vous pour cet après-midi. Il raccrocha et me dit : — Il faut que je m’absente. Notre plus gros client veut me rencontrer. Je voudrais bien rester, mais il est le budget de notre entreprise à lui seul.— Je comprends. Il faut que tu y ailles. Je suis en sécurité ici. Personne ne sait où on se trouve.— Je vais devoir y aller aussi, je suis de service ce soir. Je vais appeler un de mes collègues qui viendra me relever ici, afin que tu ne restes pas toute seule. Il s’éloigna pour téléphoner. Quant à moi, je me blottis sur les genoux de mon amoureux. N’ayant pas d’autres vêtements, j’arborais toujours le tailleur de la veille. Patrick fit remonter sa main sur ma ...