Retrouvailles
Datte: 16/11/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
couple,
cadeau,
grossexe,
sexshop,
amour,
Oral
fdanus,
jouet,
conte,
policier,
québec,
... Caroline Quincy au milieu de la cuisine, un chaudron à la main, le policier, assommé, allongé près d’elle. — Bonsoir, me dit-elle simplement. Paralysée par la peur, je regardai Caroline sans dire un mot. Elle déposa le chaudron sur le comptoir à côté d’elle, pour ensuite s’approcher de moi. Instinctivement, je reculai jusqu’au sofa dans lequel j’étais installée pour lire. Je trébuchai et m’y assis. Elle en fit autant dans le fauteuil dans lequel l’agent Messier était installé. Le silence s’installa durant de longues minutes, jusqu’à ce qu’elle se décide à parler : — Enfin seule toutes les deux. J’avais raison, pas vrai ? Je jetai un regard furtif sur l’horloge sur le manteau de la cheminée, Patrick serait bientôt là, autant gagner du temps et la faire parler. — Oui, tu as raison, mais ce n’est pas pour les raisons que tu penses. Patrick est un homme que j’ai connu il y a plusieurs années. Nous avons été amants.— Et maintenant, vous vous êtes retrouvés. Que c’est… romantique ! dit-elle sur un ton sarcastique. Reste quand même que ce poste me revenait, et que t’avais pas le droit de l’avoir. Elle se leva brusquement et me gifla. Je m’effondrai sur le sofa avant de pousser un gémissement de douleur. Elle reprit sa place sur le fauteuil et resta silencieuse, à me regarder fixement. — Qu’est-ce que tu comptes faire ? demandai-je d’une petite voix. Tu vas me tuer ?— J’en ai l’intention en effet. Mais pas tout de suite. Nous attendons un invité spécial, et je ne compte ne rien faire ...
... jusqu’à ce qu’il soit ici.— Patrick ?— Tu verras en temps et lieu. Maintenant, la ferme ! Elle n’avait pas haussé le ton, pourtant, je me recroquevillai sur moi-même. Il y eut soudain un énorme éclair qui nous aveugla toutes les deux momentanément, suivi d’un coup de tonnerre assourdissant. J’en profitai pour me jeter par-dessus le dossier du divan pour ensuite courir au hasard des couloirs. La pénombre était quasi-totale et, ne connaissant pas la maison, je manquai plusieurs fois de trébucher. J’entendis Caroline derrière moi qui me poursuivait. Je revins dans la cuisine et je trébuchai sur le corps de l’agent Messier, toujours inconscient. Dans un éclair de génie, je m’emparai de son arme, et la pointai sur Caroline, lorsqu’elle surgit, à son tour, dans la cuisine. Me regardant intensément, elle ricana et dit : — Pose ton jouet. Tu n’as pas le cran de t’en servir. Je ne bougeai pas d’un millimètre, restant braquée sur elle. Un bruit derrière moi attira mon attention. — Lâche ton arme, Jessie, me dit Sawyer, en pointant son arme sur Caroline. Soulagée, je la déposai sur le sol, près de l’agent Messier. — Dieu merci ! dis-je, soulagée. Vous êtes… Je m’interrompis, car il venait de braquer son arme dans ma direction. Il se rapprocha ensuite de Caroline, qui vint se lover contre lui. — Alors l’histoire de votre femme et de votre fille, c’était des mensonges ? demandai-je au bord des larmes.— Non. C’est réellement arrivé, répondit Sawyer.— Pourquoi ? demandais-je. Pourquoi vous ...