1. Retrouvailles


    Datte: 16/11/2017, Catégories: fh, fhh, couple, cadeau, grossexe, sexshop, amour, Oral fdanus, jouet, conte, policier, québec,

    ... fila à la douche. Ne connaissant pas ses préférences, je commandai un peu de tout et filai le rejoindre sous la douche. J’enlaçai son corps ruisselant et chaud et il me rendit mon étreinte. Prenant du savon au lait de chèvre parfumé aux herbes, il se savonna les mains et caressa mon dos, le massant doucement, puis mes fesses et entre elles. — C’est la seule chose que tu ne m’as pas donnée, me dit Patrick en testant l’élasticité de mon anus. Je lui souris et l’embrassai tandis qu’un de ses doigts pénétra mon petit trou. — Tu as déjà été prise par là ?— Oui, il y a plusieurs années et l’homme qui l’a fait était… disons moins gâté que toi par la nature.— Rien ne presse. Si tu veux, nous prendrons notre temps. Il y a une boutique érotique à quelques coins de rue d’ici. On pourrait y aller ensemble et acheter ce qu’il faut pour nous permettre de franchir cette étape.— Bien sûr. Il vaut mieux sortir, le livreur ne va pas tarder. Je sortis de la douche la première et passai sa chemise, alors qu’il drapait une serviette autour de sa taille. On cogna à la porte du balcon et je voulus aller ouvrir, mais Patrick me retint et sortit sa carte de crédit. Une fois le repas payé, il me guida jusque dans le salon et ferma les rideaux, ceux-ci étaient noirs, épais et doux. Il alluma ensuite la cheminée au gaz qui diffusa une douce chaleur et une lueur dansante dans la pièce. Nous nous installâmes à même le sol et mangeâmes notre repas avec des baguettes. Parlant du temps où nous avions été ...
    ... amants et ce qui s’était passé par la suite. Il fut surpris d’apprendre que j’avais été enceinte de ce qui aurait été son enfant, mais que j’avais fait une fausse couche à treize semaines et que j’en avais fait une grosse dépression par la suite. — J’aurais voulu te le dire, mais je n’avais aucun moyen de te joindre. Une larme coula sur ma joue et Patrick se leva pour prendre mon visage entre ses mains. — Ne pleure pas mon amour ! me dit-il en m’embrassant sur les yeux. Je suis là, je t’aime. Il me serra fort contre lui, me soulevant pour que je le chevauche. Je m’accrochai à lui comme à une bouée de sauvetage. Je l’embrassai avec fougue et y mis toute mon énergie et mon désespoir. Ma chemise glissa sur mes épaules et je sentis son sexe durcir sous la serviette. Voulant le sentir en moi encore une fois, je passai la main entre nous et écartai le tissu qui nous séparait. Je m’empalai sur lui, poussant un grognement de soulagement. Mon amant m’imposa un rythme rapide et intense. Mes mains couraient partout sur lui et je savourai chaque courbe et creux de son épiderme. — Je t’aime, dis-je entre deux gémissements.— Je t’aime aussi.Tau here, mon amour. Il empoigna mes hanches, malaxant du même coup mes fesses et, dans un ultime coup de rein, nous jouîmes au même moment. À bout de souffle, nous restâmes immobiles, nous contentant d’écouter la chamade du cœur de l’autre. Après ce qui me sembla une éternité, je me relevai, brisant notre précieux contact. Il se releva également et me ...
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