Mon premier adultère
Datte: 17/11/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
grossexe,
grosseins,
vacances,
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
coprolalie,
init,
confession,
extraconj,
beaupere,
Résumé : Dans le précédent épisode, nous sommes arrivés à destination et j’ai découvert que mon beau-père avait baisé ma mère le soir de mon mariage. Nous montons dans la voiture. Je ne porte sur moi que mon bikini et un petit gilet sur les épaules. Mes seins sont encore durs de l’excitation que m’ont procurée les paroles d’Etienne au téléphone. Mes tétons pointent vulgairement au travers de mon haut et ma chatte est trempée. Je suis tellement mouillée que j’ai l’impression d’avoir pissé dans ma culotte. Lui est en maillot aussi et son gros paquet entre les jambes ferait honte à tous les hommes. À peine sommes-nous arrivés qu’il met un caleçon de bain pris dans le coffre. Je suis surprise de ce geste puisque, du coup, je me retrouve seule en bikini alors que lui finalement, fait presque habillé malgré le fait qu’il soit torse nu. Nous entrons dans un bar à rhum. Beaucoup de jeunes bien bronzés, la vingtaine comme moi. Etienne, apparemment, est bien connu. On s’assoit sur de hauts tabourets au bar. Les mecs me regardent avec insistance. Je me sens un peu gênée. Puis Etienne commande deux rhums-orange bien frais. Nous les buvons rapidement puis deux autres sont déjà servis. C’est trop bon. Je n’en ai jamais bu, mais je sens la chaleur monter en moi. Je me sens bien d’un coup, détendue. Je commence à plaisanter avec Etienne qui souvent passe une main sur mes cuisses ou sur mes épaules. Ses mains parcourent mes cuisses avec délicatesse, tendresse, et douceur. Au bout d’une ...
... heure, nous avons bu quatre ou cinq rhums. J’ai chaud. Je suis en transe, je suis fin excitée. Il me caresse les cuisses et les épaules avec ses mains rugueuses, me susurre dans l’oreille. Puis il m’entraîne sur la piste de danse où l’on se dandine. C’est une biguine. On danse, il passe sa jambe entre les miennes et me fait quasiment asseoir dessus, frottant mon sexe sur sa jambe. On tourne, ça me fait un effet de dingue, j’ai failli jouir sur place. Ses grosses mains en profitent pour me masser les fesses en dansant. J’en peux plus, je vais devenir folle. Puis la musique cesse, nous retournons au bar. J’ai du mal à marcher, mes jambes flageolent. Entre l’alcool et mon excitation, je suis complètement déboussolée. Je ne sais plus si ce que je suis en train de vivre tient du rêve ou de la réalité. J’ai une espèce de boule dans le ventre qui me rend toute bizarre. Il y a trop longtemps que je n’ai pas fait l’amour. Mes seins me font un mal de chien tellement ils sont gonflés de désir, je ne peux pas rester comme ça. Je vais mourir. — Déborah ?— Oui ?— Voulez-vous que nous rentrions ?— Oui, dis-je, complètement ailleurs. Il me prend par la taille et m’entraîne à la voiture, nous nous asseyons. Pendant tout le trajet, il me caresse les cuisses. Parfois jusqu’en haut, frôlant mon bikini. Je ne tiens plus. Quelques minutes plus tard, nous arrivons à la maison. J’ai faim. J’ai faim de sexe, de queues, de grosses queues. À peine entrés dans le salon, il me jette sur la méridienne, ...