Mon premier adultère
Datte: 17/11/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
grossexe,
grosseins,
vacances,
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
coprolalie,
init,
confession,
extraconj,
beaupere,
... temps et de l’endroit. Puis soudain, je sens son gland qui me fait l’effet d’un poing à l’entrée de ma chatte. Il pousse doucement, il a du mal à entrer tellement il est gros. Rien que le bout du gland déforme déjà mes lèvres, je sens que ça va être magique. — Vas-y ! Baise-moi !— Je vais te faire mal.— Baise-moi ! dis-je en hurlant.— Très bien, espèce de salope. T’as envie de te faire déchirer la chatte, ton vœu va être exaucé. Puis prenant appui sur ses pieds, il force l’entrée de ma chatte qui s’élargit sous la pression. Je me mets à gueuler tellement il me fait mal, mais je ne demande que ça. J’ai envie que sa grosse queue me transperce, qu’elle me ressorte par la bouche, j’ai tellement envie de jouir. — Ohh putain, oui ! Etienne, Ouiiii !— Tu la sens, là ? Tu l’aimes ? Que t’es serrée. Je ne vais pas tenir longtemps.— Ohhh. Si encore. Hummm.— Ohh, la vache.— Ahh oui, je l’ai à fond. Ouiiii.— Non, il en reste encore, tu ne pourras pas tout prendre. Mais je trouverai une solution.— Oui ! Une fois de plus, je suis tétanisée par l’orgasme qui me foudroie alors que je sens son sperme gicler en moi en longues saccades. Je tressaute comme une carpe hors de l’eau. Bouche ouverte. Complètement déboussolée. Puis il s’effondre à côté de moi. Me laissant, la chatte baveuse et dégoulinante. J’ai encore envie mais je suis épuisée. Doucement, il se relève et m’aide à faire de même. Il m’embrasse tendrement, me caresse les fesses. Sa langue dans ma bouche me fouille et je lui rends ...
... son baiser. Nous restons là un moment à nous regarder. — Tu veux boire quelque chose ?— Oui ! Un rhum.— Ok ! Il revient avec deux rhums. On les boit quasiment sans rien dire. Je n’avais même pas remarqué qu’il avait remballé son matériel. Quand je pense qu’il vient de me baiser et que je n’ai même pas vu sa queue. Je suis assise cul nu et les seins à l’air, sans aucune pudeur, sur la méridienne. J’ai encore les tétons pointés, mes seins me font encore mal et j’ai encore envie mais je n’ose rien dire. Nous buvons notre verre sans un mot. Puis je me lève. — Où vas-tu ?— Je vais prendre une douche. Une fois dans la douche, je me lave de partout puis soudain, Etienne entre dans la salle de bain. Je sursaute. Il me regarde en train de me laver. Je perds toute pudeur. Il est nu. Je vois son énorme sexe pendre entre ses jambes. Je coupe l’eau instinctivement. Il ouvre la porte de la douche puis entre. Je remets l’eau tiède en route. Il me lave. Passe ses mains partout sur mon corps, je redémarre. Il bande et cette fois, je la vois. Dure, raide, énorme. Je la caresse, la masse, la branle. Il me chuchote des insanités aux creux de l’oreille. Puis il me retourne contre la faïence, enduit mon anus de savon et soudain je sens son doigts entre mes fesses sur mon anus. Je sais ce qu’il a en tête. Son doigt entre tout seul, tellement je suis excitée, je pousse pour l’aider à entrer. Il enfonce son doigt et déjà je sens sa main contre mes fesses. C’est qu’il me l’a mis en entier. Il tourne, ...