Aux obsèques en porte-jarretelles
Datte: 17/11/2017,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
fsoumise,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
coprolalie,
jeu,
fouetfesse,
... est tout d’abord lente, puis de plus forte intensité. Elle rougit, saisit le bras de sa sœur. Puis plus rien. — Tu ne te sens pas bien ? demande sa sœur en chuchotant.— Si… si, ne t’inquiète pas.— Tu es certaine ? Tu es toute rouge. « Le salaud ! Il a choisi le pire moment ; j’ai failli crier. Je me suis mise toute seule dans cette situation, c’est n’importe quoi ! Comment ai-je pu accepter ça ? Je suis devenue une dépravée… » Puis ça recommence ; des vibrations oscillant entre rapides et lentes, d’intensité forte ou faible. Ce n’est pas tant la sensation de l’objet vibrant dans son corps qui l’excite – après tout, ce n’est pas vraiment excitant – mais le fait de savoir qu’il est à quelques rangs derrière elle, la main dans sa poche actionnant la télécommande ; d’être à sa merci la transporte dans une excitation qu’elle ne peut pas contenir. Il joue ainsi avec elle jusqu’à la fin de la messe. Elle croise et décroise les jambes, sa sœur lui jetant de temps en temps un coup d’œil. — C’est long, lui murmure sa sœur. J’en ai marre.— Euh… oui, encore au moins un quart d’heure je crois, répond Nicole alors que les vibrations sont au maximum, lui remuant le ventre.— Ce sale con ne mérite pas tout ce cinéma, dit sa sœur en soupirant. Elle tente de maîtriser l’excitation malsaine qui l’a envahie, serrant convulsivement les cuisses, mais ses pensées sont constamment tournées vers les scènes lubriques auxquelles elle a participé avec veulerie. Elle écarte un peu les genoux, les ...
... resserre, puis ouvre un peu plus les cuisses, imagine qu’elle offre le compas de ses jambes ouvertes à son boss, au curé. Elle aimerait remonter sa jupe pour montrer à sa sœur le haut de ses bas, les attaches des jarretelles, comme pour lui dire « Tu devrais faire comme moi, exciter les hommes ; ils te feraient jouir. » Enfin la cérémonie se termine. En se relevant, elle constate que sa culotte lui colle aux fesses. Heureusement, son manteau est suffisamment épais pour ne rien laisser paraître. Elle a hâte de le retrouver, lui dire qu’il n’aurait jamais dû faire ça, mais aussi combien elle a adoré. Lui dire qu’elle voudrait qu’il la baise, violemment, lui dire qu’elle aime être sa femelle préférée. o o o O o o o De retour à la voiture, elle s’assoit en soupirant, le fixe du regard, longuement, puis lui sourit. — C’était terrible ! J’ai eu un mal fou à ne pas gémir. Pas à cause de cet objet démoniaque qui vibrait dans ma chatte, mais à cause de la situation. Dans cette église, au milieu de tous ces gens, dans cette atmosphère tendue, je… j’avais envie de vous avoir à mes côtés, d’écarter les cuisses pour ouvrir le chemin à vos doigts… Oh, mon Dieu, vous avez fait de moi une dépravée, et… j’adore ça ! Il lui sourit, pose la main sur son genou et remonte la jupe. Machinalement elle écarte largement les cuisses. En soupirant, elle fixe la main qui prend possession de sa chair, la peau moite au-dessus de la lisière des bas.« Vas-y, touche ma culotte, elle est trempée, elle sent la femelle ...