Aux obsèques en porte-jarretelles
Datte: 17/11/2017,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
fsoumise,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
coprolalie,
jeu,
fouetfesse,
... excitée. Tu veux la baiser, ta femelle, tu veux qu’elle coule ? Salaud, tu veux que ma chatte gicle son sale jus de salope ! » — Vous en aviez envie, Nicole. Venir à des obsèques en porte-jarretelles avec un chemisier transparent, c’est quand même un peu provocant, non ? Vous saviez qu’en acceptant que je vous accompagne, j’allais vous faire connaître de nouvelles sensations. D’ailleurs, j’aimerais voir ces gros nichons remuer librement. Ouvrez votre manteau, Nicole, et retirez-moi ce soutien-gorge. Excitée comme une folle, elle obéit. — Avant, j’avais honte de mes gros seins. Maintenant, j’en suis fière, dit-elle en se tournant vers lui, le chemisier ouvert, exhibant ses seins gonflés de désir exacerbé. Vous savez, je ne suis ni une pute ni nymphomane ; je suis cérébrale. J’ai découvert le sexe, le plaisir de plaire, de m’exhiber. Ce sont les évènements que je vis qui sont excitants, ils me transportent de plaisir. Puis après quelques secondes, d’une voix gémissante elle lui demande : — Ils sont assez gros pour vous, les nichons de votre femelle ?— Ils sont superbes ; vous savez bien combien je les aime, vos belles mamelles de femelle !— Oh… j’ai besoin de jouir, que vous me fassiez jouir. Emmenez-moi dans un endroit tranquille, un bois par exemple.— J’ai une idée : retournons à l’église.— Non, j’ai envie d’être…— Venez, j’ai envie de baiser une veuve… sexy ! dit-il en la coupant.— Mais je ne suis pas veuve, seulement divorcée.— Ne voulez-vous pas vous amuser ? Allons-y, ...
... tout le monde est parti !— Décidément, vous êtes incorrigible, répond-elle en soupirant. Je suppose que je n’ai pas le choix… Vous n’allez pas me baiser dans l’église, hein, vous n’allez pas faire ça ?— Vous ai-je déjà forcée ?— Bon, d’accord. Vous êtes sûr qu’il n’y a plus personne ?— Mais oui, ne vous inquiétez pas ; et puis je suis là.— Justement, c’est bien ce qui m’inquiète… Ils entrent dans l’église, elle avec le cœur battant la chamade. Il l’entraîne vers l’escalier menant aux orgues. Dans le silence du bâtiment vide, elle a l’impression que le bruit des talons qui claquent sur le sol de vieilles pierres est assourdissant. — Donnez-moi votre manteau et passez devant, je vous suis.— Je vous vois venir : vous voulez voir mes cuisses !— Comment avez-vous deviné ? réplique-t-il en souriant. Excitée à la folie, en tortillant exagérément des hanches, elle monte lentement l’escalier, faisant grincer le vieux bois des marches. L’homme en profite pour flatter des doigts le nylon couvrant les jambes. Elle s’arrête quelques secondes, le laissant prendre possession de sa peau avec veulerie. Lorsque les doigts atteignent la lisière des bas, elle reprend sa marche. Mais il l’arrête, saisit l’ourlet de la jupe et la remonte à la taille, la coince dans la ceinture pour qu’elle ne retombe pas. Il a devant lui, dans les marches menant à la mezzanine, une femme, les jambes gainées de bas marron foncé, les fesses moulées par une fine culotte ne cachant rien de sa chair. « Il voit tout ! Mes ...