Troublante Marie (1)
Datte: 17/11/2017,
Catégories:
Hardcore,
Lesbienne
Masturbation
Je devais sortir pour aller chercher un colis à la poste et un brin de course. Les températures négatives qui sévissaient depuis un mois maintenant m’obligeais à superposé les couches de vêtement pour m’isolé du froid, une fois emmitouflé de haut en bas je partais vers ma mission première et périlleuse, affronté la file d’attente du bureau de poste.Arrivé dehors, je put constaté que j’étais pas la seul à redouté le froid, personne dans la rue, je fit une rapide prière en espérant ne pas les trouvés tous agglutiné bien au chaud à la poste. J’aperçus juste une personne assise sur le dossier du banc juste en face de mon porche. Je marchais depuis trente secondes quand derrière moi j’entendis des bruits de pas de plus en plus fort et puis juste un nom.« Marion »Je tournais la tête sans m’arrêter de marcher et reconnu à ses vêtements la personne assise sur le banc.« tu me reconnais pas? »Là je m’arrêtais et fit volt face interloqué.Un bonnet au ras des yeux et une écharpes sur nez et la bouche lui cachait le visage, une énorme doudoune rouge, un jean et une paire de chaussure fourrée, un sac à dos plein à craqué; au jeu des devinettes j’aurai pus dire le père noël mais je voyais pas si mon quidam avait une barbe.D’un mouvement des épaules le sac tomba à terre, une main tira sur le bonnet qui fit tombé une mèche de cheveux brune sur ses yeux bleus mouillé de larmes.C’étais Marie, juste devant moi, je restais les bras ballants, elle éclate en sanglot et me saute au coup.« Marie ...
... mais qu’est ce que tu fais ici »« J’ai besoin d’aide » me dit elle « j’ai faim, j’ai froid, ça fait des jours que je vis dehors, je suis fatiguée, aide moi je t’en supplie »Bon, la poste attendra me dis je.J’aidais Marie à porte son sac en tenant chacune une sangle, il devait faire le poids d’un âne mort.« Tu fais dans la contrebande de ciment ou quoi, t’as quoi la dedans ? »« Ha non commence pas je t’en prie »Ha oui, j’avais oublié, Marie n’a pas d’humour dans les situations délicates, d’ailleurs a t’elle seulement de l’humour.Je fermais la porte de mon appartement et indiquais les toilettes à Marie qui tortillait son cul à force de se retenir.Elle me raconta son histoire tout en buvant un café bien chaud.Mise à la porte de chez ses parents, Marie fricotais qu’avec des filles, pêcher contre nature, la honte pour les parents, le déshonneur sur toute la famille, répudié, excommunier, banni à tout jamais et l’exile forcé; oui des personnes réagissent encore comme ça, Marie se retrouve à la rue sans ressource ni travail, six mois de galère à faire la manche et squatter, comme quoi une éducation strict et de la culture amène à tout.Marie s’enfile la moitié du paquet de pain de mie et fusille un pot de confiture pendant son récit.Je l’écoute débité son histoire, elle souffre moralement, épuisé, désemparé, et son apparence laisse à désirer, ses vêtements sont sales, ses cheveux mérite du shampoing, son visage creux trahis des carences en nourritures, seul ses yeux au bleu profond et ...